Mise en bouche pour Capucine - Histoires de Sexe

Mise en bouche pour Capucine

... sors mon smartphone de ma veste puis j’envoie un bref SMS. Celui-ci envoyé, je fais surgir une carte plastifiée que je montre à ma vicieuse comparse :

— Et si nous passions à l’étape suivante et supérieure ?
— C’est-à-dire ? Et c’est quoi ce bout de plastique blanc ?
— Une carte magnétique qui ouvre la porte d’une chambre, une clé en quelque sorte.
— Une chambre ?
— Oui, une chambre. Suis-moi.

Un peu intriguée, trottinant sur ses talons-aiguilles, ce qui lui donne une démarche chaloupée que je ne déteste pas, elle me suit. Nous faisons partiellement le tour du bâtiment, puis je me poste devant une porte anonyme.

— Nous y voici ; c’est ici, Capucine.
— Tu as réservé une chambre ?
— Oui, j’ai réservé une chambre, car j’avais dans l’idée de ne pas te limiter qu’à une seule prestation, même si tu as parfaitement exécuté celle-ci.
— Je te reconnais bien là, petit profiteur !
— Non, non, grôôôs profiteur… Et d’ailleurs, je le prouve une fois de plus : tu peux enlever ton manteau avant d’entrer ?

Une main toujours plaquée sur l’encolure de sa pelisse, elle s’étonne :

— Tu veux que j’enlève encore mon manteau, là ?
— Tout à l’heure, sous l’arbre, tu n’en avais pas non plus.
— Oui, mais là, on est juste à l’entrée de l’hôtel !
— Justement, c’est ça le fun !
— T’es vraiment un tordu, toi !

Néanmoins, elle s’exécute, apparaissant à nouveau en lingerie, ses seins toujours présentés en plateau, sans parler de tout le reste, des bas, du porte-jarretelles. ...

... Je glisse la carte, un déclic se fait entendre. J’ouvre, puis tendant la main vers Capucine, je lui dis :

— Après vous, chère suceuse…

Elle passe devant moi et entre dans la chambre. Une fois le seuil franchi, les yeux grands écarquillés, stupéfaite, elle s’immobilise. Dans la chambre, en évidente bonne forme, l’attendent des hommes déjà nus pour la plupart, queue érigée en main.

— Eh bé ! articule-t-elle péniblement.

J’en profite alors pour la pousser à l’intérieur, fermant la porte derrière moi. Ayant posé son manteau sur un meuble proche de l’entrée, la prenant par la taille, j’avance avec ma belle chienne au milieu de tous ces hommes avides qui la regardent comme si elle est un splendide os à ronger. Je présente tout le monde à tout le monde :

— Ma chère Capucine, je te présente cinq messieurs qui ont une folle envie de faire connaissance avec toi. Messieurs, je vous présente Capucine dont vous apprécierez les dons dans quelques instants.
— Cinq ?
— Six avec moi. Ce n’est pas assez ? C’est vrai qu’au départ, il devait y en avoir un peu plus, mais, que veux-tu, certains se sont défilés, comme souvent hélas.

Soudain, on toque à la porte, je laisse Capucine face à ces cinq hommes pour aller ouvrir.

— Re-bonjour. Vous avez accepté la suite de mon invitation, à ce que je vois.
— Re, Daniel. Pour sûr ! Avec une invitation formulée de la sorte, difficile de refuser, surtout quand on a pu apprécier Madame !
— Entrez, entrez…

Les deux hommes du parking ...