Une famille en Or (7) - Histoires de Sexe

Une famille en Or (7)

... éjaculant déjà. Je prends tout sur les seins:

— Dis donc, Nico, tu pars vite!

Valy vient me nettoyer avec sa langue. C’est à ce moment que Ju débarque, la bite à l’équerre, le gland bien décalotté:

— Qu’est-ce que ça veut dire? On baise sans moi?

Valy nous quitte pour aller le pomper. La scène en cours, et mes manipulations ont redonné toute sa vigueur à Nico. Du coup, j’en profite pour le chevaucher.

Après un petit trot de mise en forme, j’appelle Ju pour réaliser un bon sandwich. Il se dégage avec regret de sa pompeuse, et vient sans attendre me dilater le cul. Je suis tellement excitée que ça rentre tout seul jusqu’au fond. Ju me pistonne en douceur, et ce mouvement dans mon cul me fait coulisser en retour sur la bite de Nico. C’est divin!

Cette fois, Nico tient un peu plus longtemps, mais il craque le premier, et Ju se retire pour s’occuper un peu du cul de Valy, que nous avions presque oubliée. Il termine comme il avait commencé, dans sa bouche.

Nous leur souhaitons bonne nuit et retournons dans notre chambre. Nico n’ose pas faire de commentaires.

Jeudi 27 décembre 1990

Avec Valy et Nico, nous passons la journée à skier. Avant ça, nous avons consacré le petit-déjeuner à exciter Nico en nous caressant toutes les deux, mais il a eu l’interdiction de se branler. Nos petits attouchements lesbiens l’ont tellement excité qu’au bout d’un moment il a fini par éjaculer sans se toucher.

Quand Ju rentre du boulot, c’est Valy qui a enfin droit à son ...

... sandwich. Pour elle, les rôles sont inversés. C’est Nico qui investit son cul, pratiquant sa première sodomie.

Pour m’occuper, je lui investis l’anus avec un doigt bien lubrifié. Il proteste un peu, mais finalement il se laisse faire. Quand je sens qu’il est détendu, je remplace mon doigt par un gode. Il proteste encore un peu, mais s’abandonne finalement.

Vendredi 28 décembre 1990

Ce soir, Valy et moi avons décidé de commencer par une séance lesbienne pour exciter les garçons. Ils doivent rester assis sagement dans leur fauteuil et n’ont même pas le droit de se branler pour l’instant. Les soubresauts de leurs queues tendues à mort prouvent qu’ils apprécient le spectacle.

Quand ils n’en peuvent plus d’attendre, je leur annonce notre idée:

— OK, maintenant on aimerait vous voir faire comme nous. Branlez-vous l’un l’autre!

Ju ne se dégonfle pas et cramponne la queue de Nico. Ce dernier est un peu interloqué de se faire masturber par un mec, mais il se laisse faire. Il n’ose pas faire pareil, mais avec nos encouragement, il finit par empoigner Ju.

Avec Valy, nous nous asseyons sur le canapé face à eux pour profiter de ce show tout en nous branlant réciproquement. Ils terminent par une belle double gerbe. Pour les récompenser, nous leurs permettons enfin de s’occuper de nous.

Mardi 1er janvier 1991

Ju a travaillé toute la nuit, car il avait le réveillon à assurer à l’Auberge. Donc nous nous levons en fin de matinée, et comme le car ne part que vers 16 ...