1. Rendez-vous


    Datte: 30/05/2019, Catégories: fh, fplusag, gros(ses), groscul, poilu(e)s, ascenseur, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nopéné, uro, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... autres, dans cette ville. Ils servaient tous à permettre aux dames seules de trouver de la compagnie.
    
    Pourtant, ce n’était pas par le biais de l’un de ceux-ci que l’on s’était rencontrés, mais par une petite annonce, passée par elle :
    
    "Dame 45 ans, seule, recherche le garçon qu’elle gardait. Est prête, à nouveau, à lui donner tout son amour. Annonce N°…"
    
    J’avais répondu à son annonce un peu par hasard… beaucoup par jeu, me disant que je ne risquais pas grand-chose. À la fin de la deuxième lettre qui m’était parvenue, elle me demandait mon adresse, arguant que cela était plus pratique que de passer par le journal. Un peu réticent, j’avais tout-de-même accédé à sa requête. S’en était suivi une longue correspondance au cours de laquelle nous en avions beaucoup appris l’un sur l’autre. Elle tenait, plus que tout, à garder le côté "crapuleux" de notre future rencontre. Moi, je comprenais qu’elle n’avait pas pu aller plus loin. Elle m’avait raconté, au cours d’une longue lettre, comment elle n’avait jamais pu avoir d’enfant, qu’elle comprenait le côté amoral de son annonce, mais que c’était ce qu’elle voulait. J’avais lu sa lettre "entre les lignes" et avais cru comprendre qu’elle en souffrait beaucoup. Dans une autre de ses missives, elle avait ajouté son numéro de téléphone, en me disant : "appelle-moi, mon chéri, je t’en prie". C’était la première fois qu’elle me tutoyait… Et elle me donnait même du "mon chéri" ! Moi, ça me gênait beaucoup, mais j’avais "senti" de la ...
    ... détresse. Je sentais, confusément, qu’elle commençait à un peu trop se prendre au jeu.
    
    Cela faisait maintenant plus de six mois que nous nous téléphonions régulièrement et, devant son insistance des derniers appels, je lui avais demandé ce rendez-vous. Et maintenant, face à cette dame de vingt ans mon ainée, je devais bien m’avouer qu’elle me plaisait énormément. Certes, elle avait quelques kilos en trop, des rides charmantes autour des yeux et un visage un peu rond, mais son apparente douceur rachetait largement ces quelques "défauts".
    
    Je me suis levé pour aller payer nos consommations au bar, et suis revenu à notre table pour l’aider à enfiler sa veste. Elle s’est accrochée à moi, comme à une bouée de sauvetage. Elle semblait avoir des difficultés à tenir debout toute seule. Je lui ai parlé comme un garçon reconnaissant parlerait à la femme qui l’a élevé, pendant toute la durée de notre marche. Elle tenait mon bras, pendant ce temps et moi, je caressais sa main. Elle a tiré un trousseau de clés de son sac à main, devant l’immeuble cossu où elle habitait. J’avais pris son bouquet de fleurs pour la débarrasser, mais j’ai dû lui rendre. Elle tremblait beaucoup trop pour introduire la clé dans la serrure de la porte du hall d’entrée. Son appartement était au septième étage. Je me suis effacé pour la laisser entrer dans l’ascenseur. Pendant qu’elle refermait l’antique grille de celui-ci en me tournant le dos, j’ai posé mes mains sur ses hanches. Elle a eu comme un instant ...
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