Evolutions (20) - Histoires de Sexe

Evolutions (20)

ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 20 : Harmonie.

Lorsque nous sommes au supermarché, nous composons nos menus avant de prendre tout ce dont nous aurons besoin. À midi, je ferai une saucisse de Morteau avec des haricots verts, car c’est un plat que Dorine adore et que je veux faire goûter à Alice. Bien entendu, nous ne trouvons pas ce genre de fumaison dans la région, mais ma famille étant originaire du Doubs, un cousin m’en envoie régulièrement, et une fois qu’elles ont été congelées, elles gardent toute leur saveur. Ce soir, mon petit bout de femme va nous concocter des pâtes à la carbonara, et demain midi, je referai des grillades, mais aussi des merguez, qui seront accompagnées d’une salade composée.

Je ne fais pas de commentaire, mais je me contente de sourire, lorsqu’Alice se met ensuite à la recherche de tout ce que je suppose lui être nécessaire pour faire un tiramisu, et je ne dis rien non plus quand après que tous nos achats sont passés par la caisse enregistreuse, elle sort sa carte de crédit pour les payer.

De retour à la maison, nous nous remettons tout naturellement nus, en accrochant nos vêtements au perroquet qui se trouve dans le vestibule. Puis nous allons dans la cuisine pour préparer le repas de midi après avoir passé chacun un tablier propre. Nous commençons par nous ...

... occuper des haricots dont nous enlevons ensemble les pointes, puis tandis que j’épluche un oignon que je mets à cuire en même temps que la saucisse et les légumes, mon petit bout de femme concocte son dessert.

Pendant que nous nous activons, nous ne parlons pas, nous contentant de nous sourire de temps en temps, et nous ne nous privons pas de faire de courtes poses, pour nous prendre mutuellement en photos. À onze heures trente, tout est prêt, à l’exception du plat principal qui est en train de mijoter à feu doux.

Je me tourne alors vers Alice, et je lui demande :

— On va se rhabiller ?

Elle me répond sans rougir, après m’avoir fait un petit sourire :

— Vu son activité, ton amie a l’habitude de voir des corps nus, par conséquent, je ne pense pas que ce soit nécessaire.

Je souris à mon tour sans faire de commentaire, et c’est à ce moment-là que nous entendons le carillon retentir dans l’entrée. Mon petit bout de femme m’y précède, alors c’est elle qui appuie sur le bouton ouvrant le portillon, et lorsque le deuxième bip retentit pour nous indiquer que ce dernier s’est refermé, elle ouvre bravement la porte.

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Dorine est une jeune femme de 27 ans blonde comme les blés, et mesurant un mètre cinquante-cinq. Ses cheveux lui arrivent aux omoplates, ses sourcils plus foncés sont fins sans avoir besoin d’être épilés, et juste en dessous se trouvent ses beaux yeux verts-bouteille, encadrés par des cils longs et fins, de la même teinte que sa crinière. Son nez est ...