La fête foraine
Datte: 29/05/2019,
Catégories:
fh,
forêt,
magasin,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
jouet,
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... pétales se dirigent vers la lisière de la forêt sauvage de mon pubis. Ils s’y perdent, cherchant à se frayer un chemin jusqu’à la crevasse où coule la fontaine secrète de mon intimité.
Le contact de la fleur me fait frissonner. Julien écarte mes grandes lèvres et mon sexe s’ouvre comme une fleur exotique que le premier rayon de soleil de la journée fait éclore. Mon pistil est gonflé, délicat, sensible au moindre frôlement. Il est soumis au ballet de la fleur qui le caresse avec une douceur extrême, provoquant un bonheur tout à fait particulier, léger et sensuel, qui se propage jusqu’au plus profond de mes entrailles. Je me liquéfie. Des spasmes de volupté secouent l’intérieur de mon ventre. Julien se couche tête bêche à côté de moi. Je devine ce qu’il veut. Alors, en un instant, je descends son pantalon et libère son sexe tuméfié. Je masse doucement, du bout de mes doigts, la colonne de chair à la fois dure et douce, afin de la soulager d’avoir été trop compressée dans le slip qui n’a pu contenir l’érection. Julien pousse un gémissement de bien-être tandis qu’il utilise maintenant la fleur comme un fouet et la fait s’abattre violemment sur mon pistil ultra réceptif. Ma surprise n’a d’égale que l’onde de plaisir qui déferle dans tout mon bas-ventre. Je mordille le gland de mon amant en guise de représailles.
— Aïe ! proteste-t-il.
La hampe qui gonfle encore plus entre mes doigts trahit cette mascarade de douleur. J’abandonne cependant le gland écarlate et j’arrache un ...
... brin d’herbe. À mon tour, je m’amuse à caresser la chair tendue et palpitante. Je suis le relief des veines qui se dessine sous la mince peau coulissante, j’arrive lentement jusqu’à la naissance du gland lisse et coloré. J’en chatouille tout son contour, juste à la base, puis me dirige jusqu’au prépuce que je picore avec la pointe de la tige. Pendant ce temps, Julien s’active toujours sur mon sexe. Il l’écarte pour permettre l’accès d’une fleur bien coquine qui tente d’entrée dans ma caverne ruisselante.
Je me veux alors plus libertine. Je mâchouille le bout de mon brin d’herbe pour l’assouplir et je l’introduis dans le méat que j’écarte délicatement entre le pouce et l’index. Je franchis le léger renflement qui borde l’entrée puis chatouille avec précaution la chair rose vif, que j’imagine ultra sensible, à l’intérieur même du gland. Le sexe est aussitôt secoué de soubresauts. En représailles, Julien s’en prend à mes petites lèvres et à mon clitoris qu’il dégage entièrement de son petit capuchon pour le titiller avec la tige de la fleur.
Un doigt s’introduit en moi avec détermination et s’y anime. Mon ventre se transforme en volcan prêt à une éruption incontrôlée. Je dégage la petite tige du méat pour serrer le phallus dans ma main. Je fais coulisser la peau de haut en bas sur la colonne de chair qui me paraît encore plus grosse. Je m’active ainsi durant quelques brèves instants. Lorsque je m’arrête, le pénis vibre tout seul dans ma main, témoignant du plaisir que lui ...