1. Marie - Ange & Démon (14)


    Datte: 02/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: FredM, Source: Xstory

    Je me suis conduite comme une vraie salope les deux mois qui ont suivi le soir ou je me suis faite partouzer chez Abdou. Quelle idée aussi d’offrir mon cul en libre service. Sur le moment, cela m’avait excitée, j’aurais mieux fait de réfléchir aux conséquences. Ils sont bien cinquante à m’avoir baisée rien que le premier mois. Des Arabes pour la plupart, mais pas que. Ils étaient souvent deux, trois à utiliser la même carte. Une seule carte pouvait permettre de m’enculer jusqu’à huit fois. Certains m’accostaient dans la rue et me montraient la carte en pointant du doigt toutes les cases encore libres, d’autres me téléphonaient directement. Mais où me faire mettre ?
    
    Même si tous connaissent l’adresse de mon domicile, il n’a jamais été question de donner accès à mon appartement. Les premières semaines, je me faisais régulièrement foutre dans mon bureau en faisant passer mon « client » pour un livreur.
    
    Lorsque Marc est absent ou en rendez-vous, je leur demande simplement de m’apporter un plateau-repas que je commande à l’un des nombreux restaurants situés en face de notre bâtiment.
    
    Ensuite, tout se passe dans mon bureau. Généralement, je suis debout, prés de la porte entrouverte, un œil toujours braqué dans le couloir à surveiller. Le « livreur » me trousse et m’encule par-derrière. J’ai honte de le reconnaître, mais c’était un vrai délice de faire ça au vu et au su de tout le monde.
    
    Ces baises pendant les heures de repas ne m’ont jamais empêché de remettre le ...
    ... couvert l’après-midi dans les locaux de l’association ou de la paroisse.
    
    J’avais toujours envie de baiser. Les hormones ou je ne sais quoi me transformaient en vraie nymphomane.
    
    Dans le cadre de l’association, c’était beaucoup plus simple. En ma qualité de responsable, il me suffisait le, mercredi après-midi, de choisir mes « prétendants » dans la queue des bénévoles volontaires. Ceux qui avaient le « droit de niquer Marie » (la Présidente) se mêlaient à la file et j’en sélectionnais toujours deux parfois trois pour m’ « assister » pendant la semaine.
    
    En tant que bénévole, leur présence se justifiait complètement et je les avais sous la main en permanence.
    
    En quelques jours, je vidais leur carte et pas seulement leur carte. Au moins, je ne risquais pas de me retrouver enceinte et à double titre. Je précise que depuis la soirée chez Abdou je n’acceptais en principe que des rapports protégés.
    
    C’était relativement facile de m’isoler avec eux. Généralement, cela se passait dans le local destiné au tri des vêtements. Ce local était le plus isolé. Le tri nécessitait pas mal de main-d’œuvre et d’aller-retour.
    
    J’avais eu du mal au départ à m’habituer à l’odeur, ce qui n’était pas le cas de mes partenaires qui se jetaient sur moi à peine sans même attendre que je referme la porte.
    
    Ma grosse poitrine qui débordait régulièrement de mes vêtements qui devenaient toujours trop petits avait beaucoup de succès.
    
    J’éprouvais un plaisir incroyable à me laisser triturer les ...
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