1. Muriel


    Datte: 29/05/2019, Catégories: ff, ffh, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, confession, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... Je hurle. Le cri me fait réintégrer mon corps. Je me laisse retomber, vibrant de partout. Je ne pense plus : je suis vide de bonheur.
    
    Aidée par Kévin, je m’allonge par terre. Il n’en a pas fini avec moi. Sa bouche se régale de mon ventre, chatouille mon nombril, déclenchant des rires incontrôlés, revient sur mes seins, puis sur mes lèvres. Je ceinture son corps de mes jambes ; son sexe érigé frôle le mien, cherche son chemin, s’enfonce légèrement. Je réalise que depuis la mort de Pierre, mon mari, il y a quinze ans, rien n’a pénétré mon ventre, pas même un doigt. J’ai peur d’avoir mal comme la première fois. Je me crispe ; Kévin s’arrête, m’embrasse fort puis reprend doucement sa progression. C’est doux. Je n’ai pas mal ; au contraire, je me sens complétée. Il se retire, puis entame un tendre va-et-vient. Je me sens repartir. Il accélère ; c’est trop fort : je perds à nouveau conscience.
    
    Quand je me réveille, il m’appelle, inquiet :
    
    — Muriel, Muriel ! Ah, ça y est. Tu vas bien ?
    — Oh oui. Mais c’était trop d’un seul coup… trop fort… J’ai jamais vécu ça. Pardonne-moi de t’avoir effrayé.
    — C’est rien, c’est rien. J’ai eu peur parce que jamais mes copines n’avaient fait ça. Tu as dû faire cinq ou six orgasmes à la file ! Waouh !
    — C’était formidable. Encore merci, Kévin.
    — C’est moi qui te remercie. Et puis, je voulais te dire… pour ton amie… c’est d’accord. Je lui dirai le mot.
    
    ♦
    
    ♦ ♦
    
    Vendredi soir. Nous avons fini de manger, Virginie, Kévin et ...
    ... moi.
    
    Virginie est fébrile : la peur de l’inconnu. Pendant la semaine, elle n’a cessé de me questionner. Je ne pouvais que me donner en exemple et la rassurer. Pour la première fois de notre vie, nous nous sommes caressées. Oh, c’est resté très chaste, mais cela a approfondi notre amitié.
    
    Maintenant, c’est le moment.
    
    — Muriel, tu peux nous laisser un instant, s’il te plaît ? Je dois être seul avec Virginie.
    
    Je sors. Cinq secondes après Kévin me rappelle.
    
    Un étonnement immense s’affiche sur le visage de Virginie. Je suis contente de voir sur quelqu’un d’autre les transformations que j’ai subies. C’est subtil, mais évident. La peau qui se retend, le corps qui se redresse, et les yeux… les yeux qui se remplissent d’étincelles, qui brillent de bonheur ; c’est extraordinaire !
    
    Dès qu’elle me voit, Virginie se jette dans mes bras. Elle pleure d’émotion.
    
    — Muriel, Muriel, ma chérie, je t’aime. Je t’ai toujours aimée, mais là c’est encore plus fort. Serre-moi, caresse-moi, fais-moi l’amour. Je n’arrivais pas à te le dire, mais maintenant tout est débloqué, tout est simple. Je suis heureuse.
    
    J’attrape son tee-shirt à sa taille et le fais passer par-dessus sa tête. Sa poitrine menue n’a pas besoin de soutien ; elle est directement offerte à ma bouche gourmande. Ses petits mamelons, presque masculins, sont durs comme du bois. Je les suce, je les croque et, à chaque fois, Virginie vibre, se cambre et gémit. Elle tient ma tête pour la diriger, pour être sûre que je n’oublie ...
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