Initiation de ma sœur jumelle… (2) - Histoires de Sexe

Initiation de ma sœur jumelle… (2)

Claire ne m’a pas senti me lever tant elle suivait le chemin de ses sens qui, excités par l’alcool et les fortes émotions, demandaient à s’apaiser puis à se reposer. J’ai pris une feuille pour y écrire ce que je lui aurais dit si elle ne s’était pas endormie si vite : « Tu vois, ma chère et douce Claire, qu’un baiser entraine forcément une succession de plaisirs. Il n’y a pas d’excellence en ce domaine mais une trilogie à nourrir : le cœur, le corps et l’esprit ! » …

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La nuit fut remplie d’image dans mon esprit où se mêlaient mes souvenirs de l’adolescence de Claire en maillot de bain. C’était une époque où nous étions souvent ensemble, ce qui me permit de contempler ma sœur jumelle se former dans sa féminité. Combien de fois ai-je pu la rassurer sur ces changements physiques tant mes pairs ados rivalisaient de bêtise soit en soulignant trop maladroitement leur admiration soit en se moquant de ce qui n’était pas à leur goût ? Sa poitrine était loin des clichés véhiculés par les revues pornos, premier guide de leur découverte sexuelle. C’est peut-être la raison qui m’a amené à comprendre très vite qu’une poitrine moyenne me plaisait davantage que de gros seins. Certes, la vue d’une jeune femme habillée d’un décolleté fourni était plaisante mais il me suffisait de l’imaginer nue avec moi pour que l’excitation s’étiole. Je trouvais la poitrine moyenne de ma sœur très adaptée à sa grande taille.

Inutile de vous confier que mon réveil fut agrémenté d’une « trique ...

... matinale », fort agréable au constat mais bien moins avec ce mélange de sensation entre la tension de la verge et l’envie de sexe. Comme un fait exprès c’est à ce moment-là que Claire fit son entrée dans ma chambre. Elle aussi, sa nuit avait été remplie de rêves sensuels, de souvenirs sur notre intimité gémellaire et d’une envie d’en découvrir davantage… Est-ce cela qui la fit se réveiller bien plus tôt que moi ? Le large sourire aux lèvres et le regard complice qu’elle m’offrit en entrant me permet de penser que c’était le cas. Taquine, elle amorça :

— « Alors, William, encore au lit à faire des rêves érotiques ? » (Nul doute que la tente sous le drap avait été repérée)

— « Bonjour Claire ! Bien matinale, souhaites-tu me raconter les tiens ??? »

Je venais de prendre conscience qu’elle était en nuisette transparente, plantée devant la porte, en contre-jour de la clarté du salon. Loin de s’en douter elle me rejoignit sur le lit et semblait vouloir en voir plus. Je remontais l’oreiller pour m’assoir sans toutefois dégager le drap camouflant cette protubérance. Claire, l’air de rien, se pencha vers moi pour me faire la bise tout en prenant appui de sa main gauche non loin de ma cuisse. J’en profitais à mon tour pour savourer du regard ses seins libres dandinant dans le mouvement de sa nuisette échancrée. Conscients de nos sens en émoi et sûrement émoussés par la fin de soirée, la veille, aucun de nous deux n’osait l’exprimer par des mots, seule notre gestuelle nous ...