1. L'initiation (2)


    Datte: 28/05/2019, Catégories: fh, hplusag, extracon, inconnu, hotel, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, facial, Auteur: Larsvontree, Source: Revebebe

    ... celle d’être à ce soir et voir le contenu du paquet. Les consignes ne sont pas négociables mais ai-je vraiment envie de les remettre en question ?
    
    La journée s’écoule lentement, comme l’ensemble des journées où l’on a l’esprit occupé ailleurs. J’ai hâte que ma dernière réunion se termine, je compte partir un peu plut tôt afin de faire un écart au lieu convenu. Je ne peux y aller en métro, je passerais bien trop de temps à faire l’aller-retour. Je fais le trajet dans ma tête, je ne vois pas où se situe cette rue mais je vois bien la station de métro, ce n’est pas si loin, je visualise où je pense pouvoir me garer afin de mieux repartir ensuite… cela occupe le temps jusqu’au moment de se mettre en route. Je ne suis pas très concentrée au travail et cela ne va pas manquer de se faire sentir à un moment ou à un autre mais tout le monde est replié sur son sujet et a priori personne ne remarque que je suis ailleurs. Il est 17 h 30 quand la réunion se termine, j’échange quelques banalités avec mes collègues et je décide de me mettre en route. Par chance, je travaille dans une équipe qui laisse une totale autonomie – je peux organiser mon emploi du temps comme je le souhaite à condition que les délais soient respectés et que les sujets avancent. Je ferai ce qu’il faut pour cela afin de me laisser du temps pour voir Louis, ce besoin devient de plus en plus pressant.
    
    Les routes sont assez dégagées ce soir et j’arrive très rapidement à faire le peu de distance qui sépare le ...
    ... 17ème du 8ème. La rue d’Amsterdam est juste à côté de la station de métro mais elle est en sens unique, par chance une place est libre pas très loin. Je me gare et me lance dans la rue et ne tarde pas à découvrir la façade en verre du numéro 15. C’est un bâtiment récent, en verre fumé, on n’y distingue aucune enseigne, juste une porte automatique qui se déclenche alors que je m’en approche.
    
    À l’intérieur, un accueil avec juste quelques fauteuils design et une standardiste derrière un bureau noir laqué et une tablette en verre. Derrière elle, sur le mur, un tableau avec des dizaines de logos d’entreprises. Des avocats, des consultants…
    
    L’hôtesse m’accueille poliment et me remet le paquet, après m’être identifiée selon les directives de Louis.
    
    Le paquet est léger, dans un carton scellé, comme un colis acheté par internet mais il ne comporte aucune inscription à part les éléments que je viens de communiquer à l’hôtesse.
    
    Arrivée à ma voiture, la curiosité est à son comble et il me faut savoir tout de suite ce qu’il contient.
    
    Assise, derrière mon volant, j’ouvre le bandeau de sécurité et je découvre une paire d’escarpins. Jusque-là, tout va bien, ce sont des escarpins noirs, en cuir avec un talon pas très haut. Des lanières permettent de les fixer aux chevilles.
    
    En dessous, un petit emballage de papier, comme ceux que l’on utilise pour emballer la lingerie, cache une étoffe blanche. En la dépliant, je découvre un top de couleur blanche
    
    C’est un top très classique ...
«12...456...»