1. J’ai donné ma femme à des hommes


    Datte: 28/05/2019, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Auteur: billy2659, Source: xHamster

    ... plus contentée de petits coups de langue, elle a ouvert la bouche et enfourné une première bite sur laquelle ses lèvres se sont immédiatement mises à coulisser. Elle passait alternativement de l’un à l’autre sexe, sans le moindre moment de répit.
    
    C’est à cet instant que je me suis décidé à passer derrière elle. Je me suis agenouillé sur le siège de cuir. Des deux mains, j’ai écarté d’autorité les cuisses de mon épouse. Elle a vite compris où je voulais en venir et s’est pliée de bonne grâce à tout ce qui a suivi. Elle a ouvert ses jambes en grand. Quand j’ai posé mes mains sur ses hanches, elle a cambré son cul en arrière et creusé ses reins spontanément, dans l’attente de la pénétration. J’ai passé le bout de mon phallus entre ses fesses. J’ai buté un peu sur son petit trou, celui qu’elle avait déjà bien ouvert avec ses doigts auparavant. Ce n’était pas la porte que je voulais forcer mais je n’ai pas pu m’empêcher de frotter mon gland sensible sur le pourtour de l’anus. C’était très doux et un peu humide d’excitation. Je suis reparti plus bas, cherchant à me frayer un passage entre les cuisses de Mado, pour trouver l’orifice qui avait ma préférence ce soir-là.
    
    Devant ma femme, qui me tournait le dos, je pouvais voir les trois hommes qui se pressaient pour se faire pomper le dard. Je déportai un peu ma ...
    ... tête vers la droite pour admirer le spectacle libidineux offert par la bouche de Mado. Celle-ci avait pris deux têtes de pine dans la bouche en même temps et les suçait du mieux qu’elle pouvait, les joues distendues par les gros glands serrés. Avec ses mains, elle branlait les sexes qui, temporairement, ne lui remplissaient pas la gueule, massant les nœuds tuméfiés, empaumant les couilles contractées.
    
    Tout en savourant la scène terriblement excitante de ma femme soumise aux caprices des trois hommes, je m’enfilai enfin dans la gaine chaude de son trou du devant. C’était toujours un réel délice, tant Mado savait se faire coulante et serrée quand elle le voulait. Ses fesses vinrent instantanément se coller contre mon bas-ventre. Dès le début, elle adopta avec ses hanches le même rythme que j’imprimais aux miennes. Je l’ai labourée un bon moment durant lequel elle est parvenue à faire jouir successivement dans sa bouche et sur son visage de femme mûre les trois hommes grimpés sur la voiture. Quand, à mon tour, j’ai fini par lâcher la sauce dans son ventre, elle a poussé un cri déchirant qui a empli tout l’espace de la clairière. Juste après, les applaudissements ont fusé. Quand j’ai ouvert les yeux, il y avait au moins une dizaine de personnes, femmes et hommes réunis, attroupées autour de notre petit groupe. 
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