1. ma mère, les cambrioleurs et moi (1)


    Datte: 02/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory

    ... les deux pans de la chemise, laissant jaillir sa grosse poitrine. Les deux gars étaient sidérés. Ils avaient devant eux deux superbes mamelles, avec deux beaux tétons bruns. Je savais que ma mère était assez fière de ses seins, et elle avait de quoi : pour son âge ils étaient encore magnifiques, ils se tenaient parfaitement bien, plutôt gros. L’été, lorsque nous étions à la plage, elle ne se gênait pas pour les exhiber. Mais aujourd’hui elle avait une très bonne raison pour se servir de cet avantage. Elle savait parfaitement quel effet ses seins produisaient sur les hommes, et elle espérait bien s’en servir pour amadouer ces deux cambrioleurs.
    
    — Alors, vous en pensez quoi, messieurs ?
    
    — Putain, quels nichons ! Lancèrent les deux gars, admiratifs.
    
    Ma mère était toujours flattée qu’on la complimente.
    
    — Vous pouvez toucher, messieurs, ne vous gênez pas.
    
    Les deux gars ne se firent pas prier. Ils s’approchèrent de ma mère, l’entourèrent, et mirent les mains sur ces belles mamelles qui leur était offertes, les sous pesant, les malaxant avec avidité. Tous les deux étaient fascinés, excités comme des puces, pressant ma mère de tous côtés. Elle se retrouva assez vite débordée, avec toutes ces mains partout, qui tâtaient ses seins, descendaient aussi sur son ventre, glissaient vers son entrejambe, ses fesses. Un des gars commença alors à glisser les mains dans sa culotte. Surprise par tant d’empressement, elle essaya de reprendre l’initiative. Elle se dégagea de ...
    ... l’emprise des deux gars, et se retourna vers eux.
    
    — Hé bien, messieurs, vous êtes bien pressés ! Mais je suis bonne joueuse. Puisque vous semblez en vouloir plus, tenez, regardez !
    
    D’un geste décidé, elle retira entièrement sa culotte, la jeta sur une chaise.
    
    — Alors, la marchandise vous plaît, messieurs ?
    
    Les gars étaient sidérés d’admiration. Ma mère exhibait sa belle foufoune avec fierté. Elle était plutôt poilue, mais c’était des poils châtain clairs qui laissaient la fente bien visible, une belle grosse vulve toute rose, appétissante à souhait.
    
    — Tu parles que ça nous plaît !
    
    — Alors à votre tour ! Qu’est-ce que vous attendez pour vous mettre à l’aise ?
    
    Ni une ni deux, les deux gars baissèrent alors leurs pantalons et exhibèrent deux grosses bites déjà bien raides. En voyant ces deux queues énormes, ma mère ne sembla ni dégoûtée ni apeurée. Presque gourmande même. Elle s’approcha des gars, saisit leur bite, à l’un et l’autre et se mit à les sucer, alternativement. Elle faisait ça avec une conviction impressionnante, comme si elle aimait ça vraiment, humidifiant les queues avec sa salive, les masturbant tout en les suçant. Les gars étaient aux anges. C’était bien la première fois que ce genre de chose leur arrivait. Ils se laissèrent sucer un moment jusqu’à ce qu’un d’entre eux décide de passer aux choses sérieuses.
    
    — J’ai vraiment trop envie de te baiser, cochonne ! Ça te dit de te prendre ma grosse bite ?
    
    — Avec plaisir ! rétorqua ma mère en ...
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