1. Police polissonne (19)


    Datte: 27/05/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... vraiment désolé ...
    
    — C’est tout ? Mais ce n’est rien, bon, je vais vous rassurer ; moi on ne me viole pas ; je suis toujours d’accord. Je suis surprise que l’inspecteur Morard ne vous en ait pas parlé, lui le sait. Je vais vous dire, je suis maso et j’adore ça ; j’aime l’amour qui fait mal ; j’aime tout dans le sexe. Puisque vous connaissez mon histoire, avant d’être arrêtée ; je servais de jouet quand l’autre connard perdait j’étais la récompense (comme il disait). J’en ai vu de toutes les couleurs, j’ai été fessée, fouettée, attachée, giflée, j’ai été ficelée ; bondagée (comme il disait). Et bizarrement je me suis mise à aimer ça, par moments j’espérais qu’ils me fassent très mal ; je l’ai même demandé. Alors, ils m’ont pincé les seins, écrasés les tétons, ... et j’en passe. Alors tant qu’il ne me découpe pas en morceaux, j’accepte tout ; jusqu’où ? Je ne sais pas.
    
    Le capitaine reste sans voix, car depuis les dix ans qu’il dirige cette section de formation ; il n’a jamais connu une telle situation.
    
    — Je parie que vous me croyez folle ?
    
    — Non, seulement surpris..., je... Je pense qu’il faudrait une sorte de code pour que vous fixiez vous-même votre limite.
    
    — Oui, c’est une bonne idée ; donnez-leur mon code mission. Vous connaissez les méthodes de la BS ? Obtenir tout ce que l’on veut, et peu importe les moyens ; quitte à passer à la casserole. D’ailleurs je sais qu’en ce moment vous bandez comme un Turc. Je me trompe ?
    
    La gêne du capitaine se voit ...
    ... jusqu’au haut de ses oreilles, le trouble le gagne ; il ne sait pas quoi répondre.
    
    — Capitaine, je sais que vous bandez ; je peux vous soulager si vous voulez.
    
    L’officier ne répond pas. Alors elle passe de l’autre côté du bureau, se glisse dessous, dégrafe la braguette du gradé et lui taille une magistrale pipe. On frappe à la porte, Sonia l’entant s’ouvrit et une voix dire :
    
    — Mon capitaine, un pli urgent pour vous !
    
    L’officier agite les jambes et le soldat lui dit :
    
    — Ça va mon capitaine ? Vous ne vous sentez pas bien ?
    
    — Si, ça va ; vous pouvez disposer.
    
    Sonia sent dans sa bouche le membre dur comme un bâton, palpitant de milles vibrations ; cette situation incongrue l’excite beaucoup. Alors elle pousse la chaise à roulettes avec l’officier dessus, et sa bite toujours en bouche. Puis les deux mains posées sur les genoux de l’homme elle se hisse jusqu’à son visage et les yeux dans les yeux et lui ordonne à voix basse :
    
    — Mon Capitaine, baisez-moi !
    
    — Mais...
    
    — C’est un ordre, dit-elle en baissant le bas de son survêtement et en se retournant.
    
    Les deux mains sur le bord du bureau et la croupe à quelques centimètres de la bite officielle, elle présente sa chatte en chaleur et transpirante d’envie. L’officier ne peut résister à une telle invitation et empale la moule de l’effrontée de stagiaire, il lui astique le con et lui envoie une rafale de son calibre dans le cul. Elle serre les fesses et en garde la totalité, puis se retourne et embouche le jonc ...
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