1. La déchéance de Sophie Ch. 03


    Datte: 27/05/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byMonsieur_E, Source: Literotica

    ... retourna a sa place et moi j'en restais comme deux ronds de flan. Dans mon esprit, la colère se mêlait à la honte de m'être laissée ainsi dicter ma conduite.
    
    Par instinct, je levais la tête vers la baie vitrée et constatais que, comme par hasard, Richard n'en avait pas perdu une miette.
    
    Je ne fus guère surprise quand peu de temps après mon poste se mis à sonner.
    
    -" Sophie? Pouvez-vous venir me faire votre rapport avant de partir?"
    
    Je raccrochais en acquiesçant, tentait tant bien que mal de me donner une contenance et 5 mn plus tard, je frappais à son bureau.
    
    Comme à son habitude il ne fis pas de commentaires alors que je lui présentais les résultats de la journée sauf que je trouvais cette fois, et pour cause, que son regard se faisait plus insistant sur mes parties intimes.
    
    Rompue à cet exercice, je m'apprêtais à conclure quand cette fois il me surprit.
    
    -"Bien, bien, j'ai devant moi un dossier et il y a une chose que je ne comprends pas bien, venez voir je vous prie."
    
    Intriguée, je m'approchais et me penchais à ses côtés pour étudier le document en question.
    
    -"Qui y a t-il Richard?"
    
    J'avais beau lire et relire les paragraphes, je ne voyais pas ce qui clochait. Je tournais alors la tête vers lui et le pris en flagrant délit. Vu nos positions respectives, mon décolleté et la manière dont je me tenais, le vieux salaud avait un aperçu imprenable
    
    sur mes seins et même mes auréoles ne lui étaient plus cachées. J'ouvris la bouche pour protester ...
    ... quand je sentis sa main se poser derrière moi sur ma cuisse et entreprendre lentement l'ascension de mon entrejambe.
    
    -"Vous êtes sûre qu'il n'y a rien de bizarre dans ce contrat?"
    
    -" Je...ne...."
    
    Choquée, je mis un temps à me ressaisir. Temps que ce pervers mis bien à profit. Sa main remonta jusqu'en haut de mes cuisses entrainant ma jupe par la même occasion. Je frissonnais quand elle atteint le bas de mes fesses.
    
    Enfin, la rage éclata en moi au moment où ses doigts commençaient à s'insinuer dans ma raie.
    
    Je me relevais et dans le même mouvement le giflais violemment.
    
    -"Richard, comment osez-vous?" criais-je.
    
    Il ne me laissa pas le temps d'enchaîner. Il hurla.
    
    -"VOUS, COMMENT OSEZ-VOUS VENIR AINSI AU TRAVAIL VETUE COMME UNE PROSTITUEE DE BAS ETAGE. C EST UN MOTIF DE RENVOI AU CAS OU VOUS L'IGNORERIEZ."
    
    Je reculais comme s'il m'avait frappé.
    
    -"Rentrez chez vous" m'intima t-il "mais je n'oublierais pas ça, vous pouvez me croire".
    
    Devant son air furieux, je ne demandais pas mon reste et me sauvais, prenant à peine le temps de réajuster ma tenue.
    
    Je ne m'attardais pas ce soir là et j'atteignais la porte quand mon portable se rappela à mon souvenir. Désespérée, je reconnus immédiatement l'expéditeur du message.
    
    * Dès que tu as fini, viens à cette adresse, au deuxième étage, porte gauche. Pas d'excuse pour ne pas être là. Tu sais que je ne plaisante pas*.
    
    Etait jointe une adresse dans un des plus mal fréquenté quartier de la ville. Vu mon ...
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