1. Dévergondage d'infirmière (1)


    Datte: 27/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Karri, Source: Xstory

    ... tout la même que pour nos futurs médecins, mais allez savoir, mes deux "amies" semblaient être dans un état d’esprit assez semblable à nos voisins.
    
    Au cours de l’année, nous avions pris l’habitude de faire des soirées entre nous. Malgré le (très) faible nombre d’hommes, un ou deux avaient réussi à s’insinuer dans notre groupe ainsi que deux ou trois autres filles, toutes très sympathiques mais moins attachantes que mes deux futures infirmières préférées. C’est lors d’une de ces soirées que tout s’est passé.
    
    Comme beaucoup de week-ends, nous étions réunis chez un membre de notre meute pour passer du bon temps. Verres et cigarettes accompagnaient musiques commerciales et blagues salaces, nous faisions ce fameux jeu ringard qu’est le jeu de la bouteille. Vous savez, ce jeu que l’on faisait au collège et où les personnes visées doivent s’embrasser pour gagner ; eh bien c’est celui-là. Bien évidemment, je suis tombé sur plusieurs filles du cercle, même un garçon, mais surtout sur Cathie et Lola ; ces dernières passaient leur temps à me fixer et à faire des messes basses en ricanant discrètement. La soirée passe, très vite le jeu nous soûle et nous partons danser au milieu du salon, le volume des basses à fond et les lumières tamisées.
    
    Naturellement, c’est avec mes partenaires de travail que je guinche comme un fou. Nous nous regardons droit les yeux et nous dansons de façons très rapprochées tous les trois. Les regards s’intensifient, les gestes également. Je pense ...
    ... que, si j’avais prêté attention aux autres à ce moment, je les aurais vus avec de grands yeux ronds en train de nous fixer à gambiller ensemble d’une façon plus que suggestive ; disons-le d’une façon allusive et aguichante.
    
    La soirée poursuit son chemin dans la nuit quand, dans un élan d’excitation et de fantasme, je lance la proposition à Cathie et Lola de finir la soirée chez moi, afin d’être plus "au calme". À peine prononcé, j’ai l’impression d’avoir dit une grosse connerie. Même si on se connaît un peu et que l’on s’apprécie, ce n’est pas pour ça que deux filles vont accepter une proposition à peine voilée ; non mais quel con je suis.
    
    Mais, contre toute attente, avec un sourire ravageur associé à une voix cristalline, elles me disent: "D’accord. On y va ?"
    
    Jamais je n’aurai cru que ma tentative marcherait à ce point, il n’aura fallu qu’une seule demande pour enclencher le processus. Sans plus tarder, nous sautons dans ma voiture direction mon chez moi. J’habite un petit studio à 30 minutes de l’hôpital que je sous-loue à un couple de retraités ; ce n’est pas le grand luxe mais ça m’offre une tranquillité appréciable. Nous arrivons aux alentours de quatre heures du matin, encore sous les effets de l’alcool (attention ! En dessous du taux légal au volant bien sûr !), et nous nous posons sur mon lit placé au fond de la pièce.
    
    Comme dans la soirée, nous rigolons et nous fumons mais l’atmosphère semble s’être réchauffée. Cathie et Lola sont plus libérées que tout à ...