Nous deux, Mary et Pierre (7)
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Le templier5466, Source: Xstory
... discontinuer de longues plaintes lascives.
C’est alors que quelques gouttes nous tombent dessus. Inquiet, je relève la tête.
— Mon chéri, ne t’arrête pas pour si peu, continue de bien me bouffer la chatte, comme tu sais si bien le faire !...
Je reprends ma délicieuse tâche. Mais cette fois, plus de doute, il pleut ! Je connais bien ces averses tropicales. En un rien de temps, nous passons de quelques gouttes à une pluie torrentielle ! Un véritable déluge nous dégringole dessus. Nous stoppons net nos ébats, fort contrariés. Maman renfile son short et son débardeur, tandis que je traite le ciel de tous les noms...
Je me retourne vers maman, qui a vraiment l’air désolée. Le peu de vêtements que nous portons est évidemment trempé. Mais cela ne présente pas que des inconvénients. Le débardeur de maman lui colle littéralement à la peau, et... C’est quasiment comme si elle était nue ! Ses auréoles, ses tétons sont totalement visibles sous le tissu mouillé ! Plus bas je vois son ventre, son nombril. Je plaisante :
— Maman, c’est comme si tu étais à poil, on voit tout !
— Je ne vais pas pouvoir rentrer à l’hôtel comme çà !... Se lamente-t-elle.
Je m’approche d’elle, et, en la prenant dans mes bras, lui susurre :
— Mais qui te parle de rentrer ?...
Et de me jeter sur sa bouche. Je l’entraîne presque de force à l’endroit où nous avions commencé notre joute amoureuse. Mary a enfin compris, elle arrache presque son débardeur devenu inutile, et fait ...
... difficilement glisser son short mouillé le long de ses hanches puis de ses jambes. Tandis que je reste debout, elle se laisse tomber à genoux dans l’herbe mouillée, et me prend de suite en bouche. L’eau qui nous tombe dessus n’est pas froide, une bonne pluie tropicale bien tiède ! Nos corps ruissellent littéralement. Passant mes mains derrière la tête de maman, je défais le nœud qui maintenait sa queue de cheval, et étale ses cheveux longs sur son dos, ses épaules, des cheveux à présent plaqués par l’eau, lui donnant une allure de « sauvageonne ». Elle me pompe avec voracité, tandis que je fourrage dans sa chevelure. Cela me donne envie de la prendre bestialement, mais sans violence, évidemment. Devinant mes pensées, Mary abandonne ma bite pour se placer à quatre pattes, et me lance :
— Viens, prends-moi comme une salope !
Et me voici derrière elle, je l’enfile de suite en levrette. Je la bourre, la démonte, elle ahane, se laisse aller, craque complètement.
— Ah Pierre, mon amour, vas-y, baise-moi, défonce-moi, je suis à toi, fais de moi ce que tu veux !
Je la tringle à mort, lui tire les cheveux, tandis que la pluie redouble de violence, nous trempant jusqu’aux os, mais ne diminuant en rien notre ardeur, devenue presque démoniaque. J’ai l’impression de me trouver au berceau de l’Humanité, sur la Terre originelle ! Nus, sous une cataracte liquide, faisant l’amour comme des fous, dans une nature luxuriante !!... Sensation étrange mais divine, grisante... Nous sommes seuls au ...