1. 58- SAID le jardinier du Lycée


    Datte: 26/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... lit. Je l’avais niqué déjà par derrière et je voulais autre chose. Je l’ai mis sur le dos et les jambes levées et cuisses écartées, j’avais accès direct à son anus par-dessous. Pointant mon zob déjà gonflé à fond sur anus, je l’a enfoncé jusqu’à ce que mon ventre claque sur le sien. Et, face à face, je l’ai sodomisé comme une femme. Je l’embrassais sur les lèvres et sur les seins que je caressais et pinçais ses bouts gonflés par le désir. Il gémissait de plaisir comme une jeune femme et cela augmentait mon désir. J’avais l’impression que mon zob se gonflait encore plus et rapidement le plaisir arriva. Par trois fois, j’ai éjaculé dans ses entrailles tout en me couchant sur sa poitrine et mordant ses seins. Bien sur, moi aussi, comme lui, non seulement je soufflais fort et gémissais mon plaisir mais je hurlais presque de jouissances.
    
    Ensuite, on est resté l’un dans l’autre, couché ensemble. Puis, je me suis dégagé, et mon zob est sorti de son cul, avec du sperme qui pulsait et coulait vers le lit. Alors, j’ai retourné le seul sur le ventre et je sui monté sur son derrière. Je frottais mon zob sur ses fesses et le sillon plein de sperme, alors mon zob s’est glissé encore une fois à l’intérieur de sa terma. Comme mon zob restait gonflé, j’ai recommencé une série de vas et viens, puis je lui ai fait redressé au maximum le derrière pour avoir sa terma bien offerte. Et, presque debout, j’enfonçais par intermittence mon zob dans son cul. Je me redressais en sortant mon zob ...
    ... puis, et avec violence, je l’enfonçais de nouveau jusqu’aux couilles. Le jeune homme hurlait de jouissances. Je voyais qu’il essayait d’écarter au maximum ses cuisses et gonflait vers moi son derrière pour s’offrir à fond à mon zob, aux coups de mon zob. Moi aussi, poussé par le plaisir et ces désirs bien visibles du jeune homme pour mon zob, j’accélérais mes coups et poussait le plus au fond possible. Je hurlais autant que lui nos jouissances communes et enfin, j’ai réussi à obtenir de mes couilles la récompense. Et par quatre fois, cette fois ci, mon zob a lancé ses jets puissants de sperme dans les entrailles du jeune homme. Ensuite, épuisés, on s’est applati sur le lit, le jeune sur le ventre et moi sur son derrière et avec le zob toujours dans son cul. Quant on arepris connaissance, j’ai jeté un coup au réveil, il était deux heures du matin. Je me suis retité de son cul et me suis allongé à coté sur l’étroit lit. Il s’est relevé, toujours nu, le cul plein de sperme et m’a embrassé sur la bouche en me disant merci. Il m’a expliqué que jamais il n’avait eu autant de plaisir et de jouissances malgré sa longue expérience. Puis, il m’a empoigné le zob et l’a embrassé, sucé, nettoyé et même branlé un peu. Mon zob, habitué aux longues expériences recommençait à se durcir. Et le jeune homme, en souriant, m’a voué que ce zob était, pour lui, un phénomène et qu’il voudrait revenir, même en semaine, la nuit dans ma cabane. J’ai refusé avec vigueur et je l’ai poussé à se relever, se ...