1. Mon premier pas pour un oui


    Datte: 26/05/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, vengeance, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral pénétratio, jeu, attache, init, exercice, lettre, confession, portrait, Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe

    ... rien n’existe que le plaisir suprême. Mon orgasme me happe tout entière et je pars vers ma petite mort. Il n’y a plus de ciel autour de mes étoiles, tellement c’est fort, éblouissant. Un vrai big-bang ! Je me sens éclaboussée de partout, avec toute cette lumière qui inonde ma tête. Le feu d’artifice gicle ses particules incandescentes sur ma peau. J’en frémis, c’est si bon… Mon corps est incontrôlable : il frissonne, mes poils se redressent sur mes jambes et mes bras. J’accueille ma délivrance comme une bénédiction. Je suis libérée de la chaîne de l’amour, je vibre, je tremble et je hurle mon bonheur d’une voix saccadée en accompagnant mes spasmes :
    
    — Je suis libre ! Moi, Capucine, je suis libre ! Enfin !
    — Laisse-moi jouir en toi…
    — Viens ! Donne-moi ton jus ! Je veux sentir tes pulsions ! Que tes jets inondent mon fourreau ! Crache ta sève : j’ai besoin de sentir que tu te déverses en moi, que tu vides tes couilles. Jouis… maintenant !
    — Rrrahhâââaaghhhh…
    
    Il se fige, le sexe planté au plus profond de moi. Les mains crispées sur mes cuisses. Des spasmes le traversent tout entier et je ressens les secousses qui vident ses testicules écrasés contre mes fesses. Mon corps sur cette table de massage a fini de livrer son chant et j’accueille son plaisir avec un immense bonheur. Épuisée, je laisse mes jambes ballantes sur ses épaules. Il crache en moi ses dernières gouttes et nous nous apaisons, nos corps emboîtés l’un dans l’autre.
    
    Il se détend et sort de moi tout en ...
    ... enlevant mes jambes de ses épaules. Je me laisse faire ; le plaisir et la jouissance m’ont rendue toute pantoise.
    
    Il me caresse le ventre.
    
    — C’était bon ?
    — Oui !
    
    Je ne peux que répondre « oui ».
    
    Il penche sa tête jusqu’à mon entrejambe et me demande en relevant un peu la tête :
    
    — Je peux ? Un suçon ? Tu veux bien me laisser marquer ta peau dans le creux de ta cuisse ? Là, juste à côté de ton mont de Vénus.
    — Oui Tonny, marque-moi. Je veux bien garder la trace de ton passage sur mon corps.
    
    Voilà, c’est fait…
    
    ⌘⌘⌘⌘⌘⌘
    
    Arnaud, mon Lion, voilà c’est fait ! J’ai fini de te raconter mon histoire.
    
    Voici mes derniers mots avant son point final :
    
    « J’ai dans mon antre le fruit de sa jouissance et c’est bon.
    
    J’ai sur la peau le suçon qui prouve nos ébats libertins.
    
    Mais j’ai aussi dans le tréfonds de moi un début de souffrance… ».
    
    — Comment ça ? me demandes-tu (j’imagine tes questionnements).
    — Je n’ai aucun regret !
    — Alors ? (je pense que c’est comme ça que tu m’interroges).
    — Tu sais, je t’ai expliqué que cette fois-ci mon histoire était un peu différente des autres, puisque je ne nous ai pas inventé « nous deux » comme les autres fois. Tu t’en es rendu compte, n’est-ce pas ?
    — Oui ! (évidemment, tu n’es pas idiot).
    — Je t’ai dit que ce récit, je l’ai fait reposer sur un tas de raisons que tu comprends, puisque ce n’est pas la première fois que je t’en parle. Tu me suis jusque-là ?
    — Continue ! (tu veux savoir : c’est bien !).
    — En me ...