L'envers du décor... (2)
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Zygzags, Source: Xstory
... Peter à l’entrée de mon antre trempée.
Peter m’a demandé si j’étais sûre de moi, j’ai confirmé. Il ne se le fit pas répéter et commença à me prendre doucement. Quelle sensation agréable ! Certes, mon état d’excitation avancée facilitait grandement les choses, mais, jamais, je n’avais jamais eu une telle envie de m’offrir. Je pouvais sentir chaque détail de ce membre qui me remplissait. C’était 1000 fois meilleur que le contact froid du préservatif. Mouillée comme j’étais, Peter fut entièrement en moi en peu de temps. « Oh Peter... it’s so good ! » Il se coucha sur moi pour m’embrasser et je savourais l’instant. Il me redressa un peu et je le sentis entrer encore plus profondément. C’était bon, alors je me suis agrippée à lui en le prenant dans mes bras et en lui entourant la taille de mes jambes. Ses lents coups de reins étaient doux et délicieux, démultipliant mon plaisir encore plus.
Dans le même temps, Peter me caressait les fesses en embrassant mes seins, soudainement gonflés d’envie, qui pointaient fortement dans sa bouche. J’étais de plus en plus liquide et ma respiration était de plus en plus bruyante. Habituellement, je ne suis pas particulièrement démonstrative de mon plaisir, là c’était plus fort que moi, comme un besoin pour ne pas devenir folle.
Puis, Peter se redressa, m’emmenant avec lui en me soulevant du plan de travail alors que j’enroulais mes jambes autour de sa taille et m’agrippais à lui. Une fois debout, il me prit par la taille et je commençais ...
... à sautiller sur sa queue qui me régalait de plus en plus. Je devais être trop lourde pour lui, car, au bout de quelques minutes véritablement délicieuses, il me reposa sur le plan de travail en me gardant dans ses bras. Il n’était pas sorti entièrement de moi et je le sentis me réinvestir dans un frisson indescriptible. Alors je m’ouvrais encore plus, enserrant encore plus Peter de mes jambes et de mes bras. Il était complètement en moi, à tel point que son ventre était plaqué contre le mien. Jamais, je ne m’étais jamais sentie remplie de la sorte, jamais Julien n’avait été si profondément en moi. Et comme Peter ne cherchait pas à me mettre de grands coups de reins, je pouvais savourer pleinement cette sensation.
Je remuais un peu des hanches pour faire monter encore un peu plus mon plaisir et, je l’espérais, celui de Peter. Je sentais dans les baisers que nous échangions que c’était le cas. J’en suffoquais tant c’était bon. Je fus heureuse quand il me dit sans détour que lui aussi vivait un moment exceptionnel. « Oh Gaëlle, my sweet love...you’re so delicious...It’s so wonderful to make love to you! » ou quelque chose comme cela ! J’étais très émue par ces paroles, et j’aurais voulu qu’il explose en moi à cet instant pour ressentir à quel point c’était merveilleux de me faire l’amour. En tout cas, c’était véritablement merveilleux d’avoir cédé à mes désirs, à nos désirs.
Mais la raison nous a rattrapés. Alors nous avons un peu relâché notre étreinte, nous caressant le ...