1. La descente aux enfers de Marion (5)


    Datte: 11/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: mmuller, Source: Xstory

    ... aux sévices pour lesquels elle s’était engagée. Sa respiration s’accélérait alors fortement et Laurent approcha la flamme des cuisses de Marion. Elle sentait cette chaleur plutôt douce tant que Laurent restait à une distance convenable de son corps. Il caressait Marion avec la flamme parcourant toute la longueur de ses jambes, puis son ventre. Puis, il approcha la flamme du corps de Marion et la dirigea vers son pubis. La chaleur devint alors très intense et Marion ne put retenir un cri de surprise. Elle senti le feu se propager sur son pubis et elle eut l’impression que sa peau toute entière avait pris feu.
    
    Quand l’incandescence des poils atteignit sa peau, la douleur devint alors violente. Marion tirait sur ses liens, serrait poings et dents. La douleur se calma rapidement après que le feu soit éteint. Une forte odeur vint alors au nez de Marion, l’odeur facilement reconnaissable de ses poils tout juste brûlés. Elle fut étonné d’apprécier cette odeur, celle d’une partie de son corps partie en fumée, et elle oubliait alors totalement son entre-jambe encore irritée par la chaleur.
    
    Laurent pris alors un tube de crème hydratante, et commença à masser l’entre-jambe meurtrie de Marion. Ce massage, doux et terriblement délicat contrastait avec la violence de la brulure infligée peu avant. Marion ferma alors les yeux, et se laissa porter par le plaisir procuré par les caresses de Laurent.
    
    Quelques minutes plus tard, il se releva et enleva les lanières de cuir qui maintenait Marion prisonnière.
    
    « Je dois aller travailler, tu as quartier libre jusqu’à ce soir. Je reviens te voir dès que je serais rentré du travail. » lui dit-il.
    
    Avant de partir, Laurent sorti de la poche de sa chemise un comprimé, et ordonna à Marion de l’avaler avec un grand verre d’eau.
    
    Marion obéit et l’observa quitter la pièce, presque frustrée que cette première matinée s’achève ainsi…
«123»