Mûres43/je gicle pour 'Evelyne,76ans
Datte: 25/05/2019,
Catégories:
Mature,
Auteur: langauchat, Source: xHamster
Je ne pensais pas jouir à nouveau dans le vagin de mon amie Evelyne, 76 ans, qui me loge de temps à autre.
Cette petite dame frêle et sympathique, mais avec un caractère bien trempé voire rigide, ne me fait pas fantasmer outre mesure. C'est vraiment une amie.
Pourquoi donc mêler du sexe à cette excellente relation, et apporter de l'ambiguïté, d'éventuelles complications voire revendications à ce qui devrait rester bon enfant?
Parce qu'après des semaines et des semaines de promiscuité, elle a envie de sentir ma bonne grosse bite qui sait si bien, dit-elle à mot couverts, rester dure le temps d'apprivoiser sa petite chatte toute serrer. Son envie de se faire tirer finit par me donner envie de jouir, quand j'ai les couilles pleines à craquer.
entre temps, je suis sûr qu'elle se masturbe régulièrement, nerveusement. Elle pense immanquablement aux bonnes jouissances de ce gland vigoureux qui la fouille. De bon coups de reins d'une homme qui pourrait être son fils, et dont elle sent jaillir la semence en même temps que l'orgasme lui fait vibrer la chatte.
Hors témoins, on a gardé l'habitude de s'embrasser sur la bouche, plus amicalement qu'amoureusement.
Mais lorsqu'une baise se profile, je le sens à la mollesse de ses lèvres, à sa langue qui se tend brusquement dans ma bouche. Elle doit sentir que j'ai envie de la tirer.
On était en train de lire au lit, côte à côte, et hop! Voilà la gentille dame qui lève les bras pour passer sa chemise de nuit par-dessus ...
... sa tête. Là voilà toute nue, toute blanche. Sa peau fine, ses petits seins délaissés appellent la caresse. Avec une parfaite synchronisation, nous nous sommes débarrassés des tissus qui nous couvraient. Nous sommes revenus au stade naturel de la saillie, du rut...Saillie stérile, improbable, plaisir cueilli hors de la convention, puisqu'un homme encore jeune est en train de triquer parce qu'il va dans quelques instants fourrer une grand-mère qui vient d'enlever ses lunettes, et qui l'embrasse comme une épouse, en l'attirant sur lui.
Je ne reste pas longtemps sur elle. Je positionne mon gland à l'entrée de la petite vulve garnie de poils châtains-blonds tout fins.
Je nique, je nique la dame. J'avance méthodiquement dans son vagin.
Les bras tendus, je baisse les yeux pour voir la tige s'engouffrer progressivement, comme un artisan qui connaît bien comment mener à bien son ouvrage.
C'est pas vrai, me voilà de nouveau en train de copuler avec une dame très âgée...
Ma queue fait du va-et-vien dans le vagin de la sympathique petite dame du premier étage, celle qui a l'air toute discrète, avec ses lunettes, celle qui, croit-on, n'est pas du genre à faire cracher de la bite dans sa fente à minuit passé.
Ma bite travaille bien. Elle laboure bien. Mon amie est contente, elle soupire.
Son vagin s'est habitué à contenir le membre qui pulse. Quand je peux vraiment la bourrer profondément, ça lui fait du bien.
Elle se sent distendue, mais quand même en douceur. Le ...