Première fois à plusieurs au ciné
Datte: 25/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Michlib, Source: Hds
... lui procurait toutes ces mains et ces bouches. L’entreprenant voisin fit pencher Béa vers ma queue et lui intima l’ogre : »suce ton mari salope ». Elle s’exécuta immédiatement, me gratifiant de sa langue experte. L’homme ne perdit pas de temps et, écartant les fesses de Béa, fouilla sa vulve et son anus de sa langue. Béa jouit une seconde fois et fut prise de soubresauts violents.
Les deux voyeurs de devant se branlaient toujours et tâtaient les seins de Béa.
Ma chérie me regarda inquiète en sentant l’inconnu derrière elle s’affairer et me demanda : »qu’est-ce qu’il fait ? Il va me prendre ? »
Moi : « tu en as envie ? »
Béa : « oui, je t’en supplie, laisse-le me prendre »
J’étais stupéfait de sa réponse. Ma femme d’habitude réservée se comportait comme la dernière des salopes et me suppliait de la laisser se faire prendre par un inconnu en public.
De mon côté, moi qui voulait simplement nous exhiber un peu dans ce cinéma, je perdais complètement le contrôle.
L’inconnu qui avait compris que ma chérie avait cessé toute résistance, sortit une capote de sa poche, l’enfila et entra sa queue raide dans la chatte de Béa d’une seule poussée. Il entama immédiatement des ...
... va-et-vient sans ménagements, agrémentant les fesses de ma belle de quelques claques sonores. Excité par la scène, j’explosai dans la bouche de Béa.
Pendant ce temps, un des deux voyeurs avait fait le tour de la rangée et était venu se placer devant Béa en lui présentant sa queue à sucer. Elle s’exécuta immédiatement et en quelques secondes, l’homme balança quelques giclées de sperme dans la bouche de ma femme. En se retirant, il ‘biffla’ Béa en la traitant de pute puis me remercia et s’en alla.
Celui qui besognai Béa en levrette ne baissait pas de rythme, au contraire. Il se retira enfin, ôta sa capote puis se branla et envoya son sperme sur les fesses de ma belle. Sans autre forme de procès, il remis son pantalon, m’adressa enclin d’oeil et partit.
Béa mit quelques secondes à retrouver ses esprits, ramassa sa culotte et son soutif, reboutonna sa robe et m’invita à partir. En sortant, la caissière qui arborait un sourire moqueur s’adressa à Béa : « alors ma belle, tu as pris cher on dirait !? ».
Rentrés à l’hôtel, après une bonne douche, Béa s’est lovée dans mes bras et nous nous sommes endormis, épuisés par cette soirée torride. Une première fois que nous n’oublierons pas.