1. Pauline à Marseille (2)


    Datte: 25/05/2019, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... blanc en coton. Elle ne vit pas venir la gifle sèche qui mit sa joue gauche en feu et emplit ses yeux de larmes.
    
    — Tu attends quoi, salope ? Ton slip et tes chaussures. Tu mériterais quelques coups de plus pour la peine.
    
    — Ah, oui… Pardon… murmura-t-elle.
    
    — Tu dois être polie avec moi et m’appeler « monsieur » ! Cette fois, c’est cinq coups de plus.
    
    — Oui, excusez-moi, Monsieur…
    
    Une fois complètement nue, Pauline se sentit submergée de honte et au bord des larmes. Sa lèvre inférieure tremblait, elle la mordit pour s’empêcher de fondre en sanglots. Et pourtant elle était là de son plein gré, se morigéna-t-elle.
    
    — Allez, les mains sur le lavabo et le cul vers moi, bien cambrée, ordonna Jacky en enlevant sa ceinture de cuir des passants de son pantalon.
    
    Incrédule, Pauline le vit faire. Ce n’est qu’à cet instant qu’elle comprit exactement ce qui allait arriver : elle s’apprêtait à recevoir une fessée, chose qui ne lui était jamais arrivée. Et pas à main nue mais à coups de ceinture. Les jambes tremblantes, elle obéit néanmoins et se pencha sur le lavabo qu’elle empoigna fermement. Jacky se positionna, ceinture levée, et attendit. Il savourait le spectacle des fesses musclées tendues vers lui, de l’abricot rose et duveteux impudemment offert. Pauline tremblait un peu, tous ses muscles se tendaient dans l’anticipation des coups qu’elle redoutait.
    
    Pour autant, le premier la prit au dépourvu. Il cingla la partie la plus charnue de son fessier ; la vive ...
    ... douleur la surprit, elle ne s’attendait pas à avoir si mal. Elle se redressa en poussant un cri rauque ; tournant la tête, elle croisa les yeux de son tourmenteur qui la mit au défi de protester. Vaincue, la petite blonde baissa la tête et reprit sa position initiale, des larmes commençant à couler sur ses joues pâles.
    
    — Bien. Tu ne bouges pas, encore neuf coups.
    
    Pauline serra les dents et se prépara à endurer sa punition. Jacky frappa deux coups rapides qui croisèrent leurs marques, puis deux autres un peu moins fort ; puis il attendit, guettant les réactions corporelles de sa victime. Elle devait pleurer en silence, ses épaules tressautaient légèrement. Et ses phalanges étaient blanches tellement elle serrait fort la faïence jaunie du lavabo. Il posa sa main libre sur une fesse et la jeune fille frémit mais ne se déroba pas ; les doigts suivirent lentement les marques de ceinture qui commençaient à apparaître sur la tendre peau, glissèrent entre les globes jumeaux.
    
    — Tu es trempée, petite salope. Ta chatte ruisselle, elle attend de se faire démonter. Tu as bien fait d’entrer dans mon bar. Je te voyais passer dans la rue en rêvant à tout ce que je pourrais te faire subir… Allez, encore cinq coups ! Tu es prête ?
    
    — Euh… Oui… Aïe ! Oui Monsieur.
    
    — Tu as droit à un coup de plus.
    
    Le tenancier frappa donc six fois, sans forcer outre mesure, s’appliquant à marquer tout le postérieur de la petite blonde. Celle-ci fut soulagée d’en avoir fini à bon compte, les fesses en ...