Un voyage en train pas comme les autres - Histoires de Sexe

Un voyage en train pas comme les autres

Ce que vous vous apprêtez à lire est le récit d’une histoire qui m’est arrivée il y a quelques semaines.

Moi je suis un mec de trente ans, sportif, 1,80 m pour 69 kg, plutôt beau mec à en croire les filles. Côté sexe, je suis du genre ouvert à toute proposition, sans tabou et plein de fantasmes en tête.

Pour situer l’histoire, je venais de passer trois jours de vacances à Paris, où je venais faire le tour des potes pas vus depuis un moment. Trois jours pas très reposants, mais bien cool.

Ce jeudi, chaud et ensoleillé pour une fois, du début de mois de juin, je m’apprêtais à effectuer un trajet en TER, en direction du nord de la France. Un trajet souvent long et ennuyeux.

Mais ce jeudi matin, le hasard en avait décidé autrement.

Comme à mon habitude, j’arrive à la gare dix minutes avant le départ du train, achète un billet en vitesse et fonce sur le quai. J’embarque quelques secondes avant la fermeture des portes, et pars à la recherche d’une place.

Le train est peu rempli, mais chaque compartiment est occupé par une ou deux personnes avec ordi et téléphone portable, ou poussette. Je cherche donc un compartiment vide pour être tranquille. Merci les conversations de boulot ou la musique à fond. Après avoir remonté le wagon, je trouve un compartiment occupé par une dame seule, la cinquantaine.

Je rentre, nous nous saluons poliment, et je m’installe. Afin de ne pas être dérangé par les bruits du couloir, je ferme la porte du compartiment et tire le ...

... rideau.

Nous sommes dans un compartiment avec huit sièges. Elle est installée près de la fenêtre, place que j’aurais également choisie si j’étais arrivé en premier. Je suis assis au milieu de la banquette lui faisant face. Ma curiosité me pousse à la regarder plus en détail.

C’est une belle femme d’environ cinquante ans, la musique dans les oreilles, vêtue d’un jean noir, d’une chemise rose avec six boutons, dont seulement cinq de fermés, d’un petit gilet noir, une paire de lunettes et une alliance. Bien qu’un peu ronde, elle est très charmante. L’espace entre les boutons de sa chemise me laisse percevoir la dentelle d’un soutien-gorge rouge, qui retient une paire de seins bien ronds. J’ai du mal à en détacher mon regard.

Une sonnerie de téléphone me ramène à la réalité. Elle vient de recevoir un SMS. Elle sourit en le lisant, puis tapote sur son écran pour répondre. Quelques minutes après, elle reçoit un nouveau message. Même réaction que la précédente. J’imagine qu’elle discute avec son mari qu’elle vient de quitter ou qu’elle rejoint, en raison d’un déplacement professionnel.

La scène se reproduit à plusieurs reprises, alors que de mon côté, je continue à la déshabiller du regard. Dans ma tête commencent à se bousculer des pensées coquines. J’ai l’impression qu’elle fait en sorte que je puisse me rincer l’œil.

Dans mon short, mon sexe commence à réagir et à se sentir à l’étroit. Je ne fais rien pour dissimuler la bosse qui se forme, et continue à l’observer. Nos ...