1. L'anniversaire de Samuel


    Datte: 24/05/2019, Catégories: fh, ff, hh, ffh, fbi, hbi, jeunes, couleurs, asie, inconnu, copains, grossexe, grosseins, fête, anniversai, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Transexuels intermast, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... demande sa mère, en la secouant légèrement, par un bras.
    
    Résignée, cette dernière laisse sa fille dénouer ses doigts, et nous entendons tous une voix où ne subsiste que la tristesse :
    
    — Je peux pas servir ces gens… vaut mieux que je m’en aille…
    
    Puis, elle se met à marcher en direction de la porte de la salle où nous nous trouvons.
    
    …
    
    JENNIFER :
    
    Maintenant, c’est devenu presque une habitude, de "dénouer" les situations tendues… ça m’amuse, même ! Je me dis, dans ma tête :
    
    "Toi, ma cocotte, si tu crois que je vais te laisser gâcher la soirée de Samuel et de sa petite-amie, tu t’fourres le doigt dans l’œil… jusqu’au coude !"
    
    Eh oui… parce que "ma" Florence m’a parlé de sa dernière soirée en "solitaire", celle au cours de laquelle elle est rentrée si désespérée. Elle n’a pas pu faire autrement, parce que je lui ai "tiré les vers du nez" !
    
    Alors vous pensez si je jubile, quand je me lève et que j’ordonne, tout en attrapant à mon tour le poignet de la fugitive :
    
    — Florence… tu viens avec nous !
    
    Elle se lève et nous rejoint, tandis que je lutte pour garder ma captive, puis glisse sa main dans celle qui m’est restée libre, et que je lui tends, en signe de tendresse. Puis, je m’adresse aux autres :
    
    — Madame, et vous tous… j’vais juste régler un ou deux trucs qui me dérangent… Pourriez-vous nous attendre, ça va pas être long !
    
    Tandis que j’entraîne les deux Florence vers la bibliothèque, j’entends Stéviana dire :
    
    — Je vais vous aider à nettoyer, ...
    ... madame.
    
    Arrivées toutes trois à notre destination, je les invite à prendre place dans le canapé blanc, puis m’assois en face d’elle, sur la table-basse. Je sais déjà comment je vais attaquer : je vais les désarçonner, parce que c’est tellement plus facile, après !
    
    — Bon toi, dis-je, mes yeux plantés dans ceux, bridés, de ma première "victime". T’aurais pas un surnom, quelque chose, parce que sinon, ça va pas être pratique de vous distinguer, m’exclamé-je d’un ton joyeux, presque… moqueur.
    
    Effectivement, il lui faut bien trois-quatre secondes avant qu’elle ne réponde, un peu inquiète, mais détendue par mon ton :
    
    — Tous le monde m’appelle Kiko, à la maison… c’est mon prénom japonais.
    — Oui, moi j’préfère… parce que c’est vraiment mignon, comme prénom… Moi, j’m’appelle Jennifer… Alors, salut Kiko, soufflé-je en lui tendant la main.
    
    Elle me la serre timidement, et j’enchaîne :
    
    — Bon, Kiko… je suis au courant pour vous deux, parce que ma chérie, elle peut rien me cacher… Alors, si tu m’expliquais pourquoi tu as réagi comme ça ?
    — Ben… j’l’ai rappelée, deux jours après… qu’on se soit rencontrées, mais j’ai pas eu l’impression qu’elle avait envie de me voir…
    — Et c’est tout, minimisé-je l’affaire.
    — Non… j’ai cru qu’elle s’était moquée de moi quand elle avait affirmé vouloir me revoir.
    — Et toi, me tourné-je vers Florence. Explique-nous pourquoi tu lui as donné cette impression ?
    
    Sans m’en rendre vraiment compte, j’ai fait de Kiko et de moi-même, une sorte ...
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