1. Connaissance de Monique, l'amie d'enfance d' Annie... suite


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Mature, Première fois Auteur: Voyeuretraite, Source: xHamster

    Ainsi vêtue Annie me faisait penser à Olivia Newton John dans Grease, elles allaient et venaient en roulant du cul dans le salon, la salle à manger, la cuisine, prenaient des poses aguichantes, s'effleuraient, l'entrejambe, les fesses.
    
    Puis Jean ordonna à Annie d'aller mettre autre chose, que la journée serait belle, qu'une tenue plus légère serait plus adaptée, puis se fut Roger qui demanda la même chose, trouvant que sa belle avait suffisamment montré son cul serré et sa chatte moulée dans ce jeans.
    
    Nous étions toujours assis sur le canapé quand elles revinrent vers nous, elle avaient poussé leur complicité jusqu'à s'habiller de la même façon, elles n'auraient pas dépareillé, peut-être fait plus pute que celles de la rue Blondel à Paris
    
    Pour le haut petit gilet ouvert sur toute la longueur, fermé en bas par deux boutons, laissant les seins libres, un mini voir micro kilt arrivant à la lisière des fesses bien sur sans dessous et aux pieds des mules. Le haut et le kilt créés par Annie.
    
    Jean se leva le premier, demanda à Annie de se tourner, elle virevolta, le kilt se leva, Jean ravi l'attira à lui, l'embrassa tout en lui flattant les fesses.
    
    Roger resta assis et trouva sa salope parfaite, habillée comme à son habitude en pute, tenue qui les excitaient tout deux. J'appris que Monique adorait s'exhiber, allumer, qu'elle soit chez Jean et Annie ou chez elle, sauf quand ils donnaient une réception, s'habillait toujours ainsi et toujours montée sur des hauts ...
    ... talons.
    
    Ses énormes mamelles (110D) se balançaient au rythme de ses pas, mes yeux allaient de l'une à l'autre, je bandais, j'avais qu'une envie, prendre Annie et pourquoi pas posséder aussi Monique que je connaissais que depuis quelques heures mais voilà s'habiller en pute, s'exhiber ne veut pas dire être une femme facile, Roger tout jovial qu'il était, prêtait-il sa femme comme Jean?
    
    La fin de mâtiné et l'après midi ils nous fut interdit de toucher les femmes, ainsi en avaient elles décidées, ces dernières s'entendant merveilleusement bien pour nous laisser en état d'excitation permanent, rien nous fut épargné, baisers, caresses de chattes, de fesses, pétrissage de mamelles, étirages de tétons, sur la pelouse, posées sur un grand matelas, leurs jambes imbriquées les unes dans les autres, ce fut du chatte contre chatte, clito contre clito.
    
    Après les avoir vu s'échanger un baiser langoureux, je voyais ces deux matures se donner du plaisir, elles étaient magnifiquement belles.
    
    Le repas pris, la table débarrassée, Jean s'allongea sur celle-ci, il voulait manger la chatte d'Annie et ce fut le début d'une soirée extraordinaire.
    
    Jus la réponse à ma question quand Monique dit à son homme qu'elle voulait sucer Jean, Roger l'attrapa par les cheveux, l'attira à lui, lui demanda si elle voulait toutes les bites, en me regardant elle lui répondit qu'elle les voulait toutes et plusieurs fois, qu'elle se sentait très pute, "Tu ne seras pas déçu mon chéri, tu seras fier de moi", ...
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