1. Cauchemar à la villa de campagne 06


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    Cette histoire, tirée de mes archives, a été écrite par Mefistho. Je le remercie de m'avoir autorisé à la publier ici.
    
    Avertissement : Ce récit n'est qu'une FICTION sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation.
    
    Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.
    
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    Jour 4 et 5
    
    Le lendemain matin, le réveil est difficile pour tout le monde. Inutile de décrire le désordre et la décrépitude qui règne dans la maison de campagne.
    
    Tante Claudine a appelé mon père et lui a dit que tout allait bien et que l'emménagement se passait bien. Il fallait que je me rende à l'évidence : Ma tante aimait cette situation. Dire que mon père, resté jusque la fin de semaine à la pharmacie, devait se dire que tout allait pour le mieux. Comment pouvait-il se douter que sa femme, sa fille, son fils, sa sœur et sa nièce était aux mains de bons gros salauds.
    
    Ma tante baille et s'étire devant les hommes qui se réveillent installés n'importe comment dans la maison. Certains dormaient dehors et d'autres dans leur voiture. Ma cousine Michèle est dans les bras du métis ainsi que ma sœur lysa. Après qu'elles se soient gouinées, il les avait baisées toute les deux.
    
    Je regarde ma tante Claudine qui se balade à poil sans avoir honte. Elle était vraiment maigre. Elle doit peser vers les 55 kilos pour ...
    ... environ 1M70, yeux noirs aux cheveux marrons coiffés courts. Sa peau cuivrée car elle est exagérément bronzée, lui donne une drôle de forme. Elle n'a quasiment pas de seins, juste des tétons qui montrent que c'est une femme.
    
    Sa fille, Michèle, est le portrait craché de sa mère mais a heureusement un peu plus de poids.
    
    Tata Claudine va chercher sa robe d'été orange sans mettre de sous-vêtements. Elle se lave et se maquille tranquillement comme si cette soirée était une partouze volontaire alors que toute la famille avait été kidnappée. On ne me dit plus rien car j'avais été sucé par ma tante et ils me considèrent désormais comme complice. De toute façon, jamais je n'oserai dire ce qui s'est passé ici. J'espérais juste qu'ils partent et nous fichent la paix. Mais ce serait trop beau.
    
    Ma mère avait terminé à la chambre où elle avait été emmenée et baisée à plusieurs reprises. Elle dormait sur le lit conjugal complètement nue. Elle était méconnaissable tant elle avait été souillée. Ses orifices étaient rouges tant elle avait été baisée, ses cheveux emmêlés et collés de sperme, sa bouche, où le rouge à lèvre avait disparu, diluée dans le foutre. Elle avait de légers bleus sur les bras, les seins, les cuisses et ses grosses fesses. Cela venait du fait qu'elle avait été souvent manipulée et que les mains avaient agrippé sauvagement ses hanches et son cul. Voilà ce qu'il reste de la bourgeoise pharmacienne de 46 ans, la mère de famille idéale, femme fidèle et aimante. La voilà ...
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