1. L'amour dans les cordes (8)


    Datte: 22/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: yug0lit0, Source: Xstory

    Quelle pouvait être la pire humiliation pour Antoine ? Lui dire que je le trompais ? Non trop simple et ça n’aurait fait qu’égaliser le score. Lui dire que c’était avec son patron que je couchais ? Qu’on lui avait torpillé son plan ? Non ça ne me suffisait pas et puis ça aurait gâché la surprise de la plainte à la répression des fraudes que Patrick avait déposée.
    
    Avant que je n’apprenne que j’étais cocue, j’avais un fort désir d’enfant avec mon mec. Cette envie était retombée avec toute cette histoire mais je la voyais revenir au galop sauf que le rôle du papa était tenu par Patrick cette fois. Je ne savais pas où il se situait par rapport à ça. S’il en avait envie ou non. S’il envisageait plus avec moi ou pas. Si je n’étais qu’une simple aventure, une coucherie sans lendemain. Je me suis dit « tant pis. Si il ne veut pas, je le ferais toute seule quand même ». Par contre il y avait un problème : Comment s’assurer que l’enfant ne soit pas celui d’Antoine ? Parce que si jamais c’est le sien, il risque de me faire chier comme pas possible. Toute la semaine je couchais avec Patrick et le weekend je donnais le change, à contre cœur, avec Antoine pour qu’il ne se doute de rien. Garder le secret sur ma relation adultérine avec Patrick était devenu un peu plus compliqué surtout depuis que toute la boite savait.
    
    Un jour, avec Patrick on était resté plus tard le soir et c’est quand sa sœur, la DRH, est partie qu’il m’a appelé et a sortie plusieurs cordelettes avec un regard ...
    ... coquin. On avait déjà fait de saletés au bureau. Par exemple, son bureau, le meuble pas la pièce, étant complètement fermé. Je me suis plusieurs fois retrouvé à genou dessous pour…. Vous devinez quoi bien sûr. Le plus marrant c’était qu’une fois, il avait reçu un client alors que j’étais sous le bureau : Le fameux directeur de la centrale d’achat qui avait eu des vues sur moi (voir chapitre précédent). Leur entretien avait duré un long moment et durant tout ce temps J’avais la queue de Patrick dans la bouche. Quand il a jouis, il a simulé une quinte de toux. A la fin, le client a tout de même demandé « Où est votre si charmante assistante ? » Il lui a dit que j’étais parti faire une course et a tenu à préciser que j’étais déjà prise. Comme on ne voyait pas ce qu’il se passait dessous, ce gros dégueulasse ne s’est jamais douté de ce qu’il s’était déroulé juste sous son nez.
    
    D’autant qu’au moment de partir, Patrick pouvait difficilement se lever. Il a prétexté un mal de dos et le client s’est contenté d’une poignée de main.
    
    Quand on s’est fait surprendre, ça s’est passé dans le local photocopieuse. Patrick m’avait attaché les mains devant moi et m’y avait entrainé comme si j’étais en laisse. Puis après m’avoir bien galoché et m’avoir retiré le haut pour mieux me ploter les seins à outrance, il a attaché la corde de telle manière que je me suis retrouvé bloquée et attachée à plat ventre sur la photocopieuse, les seins plaqués contre la vitre de l’appareil. On était tellement ...
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