Chasse au sanglier...
Datte: 22/05/2019,
Catégories:
fhh,
hagé,
alliance,
voisins,
grossexe,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
Auteur: Kristal, Source: Revebebe
... tard, avachie dans le canapé et je vis mes deux amants assis à la table, toujours nus, en train de boire un verre de pastis en parlant à voix basse.
— Ah, Kris se réveille enfin ! dit Mario. Gilbert, porte-lui un petit verre, je crois qu’elle en a bien besoin… N’est-ce pas Kris ?
— Après tout ce que vous venez de me faire subir, vous pouvez bien vous faire pardonner en m’offrant un verre, en effet !
Je me suis levée, j’ai saisi une veste de chasse qui traînait sur le dossier d’une chaise pour m’en couvrir les épaules avant de les rejoindre à table. Nous nous sommes regardés tous les trois en silence avant d’éclater de rire devant le cocasse de la situation. Nus tous les trois dans un chalet au milieu de la forêt… Un verre à la main après ces instants de folie !
— Sais-tu ce que ta mère nous a préparé à manger ? J’avoue que nos fredaines m’ont donné faim ! Pas toi Mario ? Et toi Kris ? demanda Gilbert.
— Moi, je n’ai même pas terminé mon casse-croûte dit Mario en riant. Et toi Gilbert, tu as vraiment faim ou tu te contenterais de grignoter un petit bout de chair fraîche ?
Ils éclatèrent de rire tous les deux, leur regard fixé sur moi. Je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux à nouveau dans une forme olympique. Ils avaient su m’offrir un orgasme splendide mais eux avaient réfréné leur désir et étaient déjà prêts à bien des choses si je me fiais à la raideur de leur membre qui pointait haut et fier.
— Dites donc, c’est de moi que vous parlez en guise de ...
... chair fraîche ? Vous êtes vraiment deux horribles vicieux, de vrais satyres ! À vous entendre, on penserait presque que toutes les femmes que vous croisez finissent embrochées…
— Tu ne crois pas si bien dire, ma jolie Kris… répondit Gilbert qui ne quittait pas des yeux mes seins découverts dans l’ouverture de la veste trop grande pour moi. Mais nous prendrions bien un autre petit verre, toutes ces émotions nous ont donné soif !
Je me suis levée pour aller chercher de l’eau pendant que Mario versait le pastis. Quand je me suis approchée pour poser le pichet sur la table, il s’est redressé m’a saisie par les hanches pour m’attirer à lui. Ma veste s’est ouverte et je me suis retrouvée les seins contre son torse puissant, son sexe dressé contre mon ventre, ses mains caressant mon dos, mes fesses.
— Non Mario, vous n’allez pas recommencer tous les deux… ai-je protesté sans grande conviction, sentant déjà remonter en moi ces frissons délicieux, prometteurs de plaisirs insensés.
— Eh si, ma belle ! Tu ne penses tout de même pas que nous allions nous contenter du petit hors d’œuvre de tout à l’heure… En plus, tu as pu constater que les deux vieux satyres sont tout à fait aptes à abuser à nouveau de toi, de ta beauté, de ta sensualité et de ton corps.
À peine sa phrase terminée, je sentis les mains de Gilbert se poser à leur tour sur moi, son corps se plaquer contre mon dos. Leurs caresses étaient douces, énervantes, excitantes. Mon dos, mes épaules, mes seins, mon ventre, ...