1. Attache-moi !


    Datte: 22/05/2019, Catégories: fh, couple, cadeau, gros(ses), complexe, amour, cérébral, Oral pénétratio, attache, yeuxbandés, tutu, Auteur: TomaN7, Source: Revebebe

    ... c’est vraiment un plaisir inégalable de sentir ton sexe aller et venir en moi rapidement ! Tu me fais l’amour… Non, tu me baises comme une chienne ! Mais je l’ai tellement désirée, ta queue, que je n’aurais pas pu apprécier davantage de tendresse !
    
    Tu me baises puissamment, en ne prenant pas la peine de me toucher, de m’embrasser. Je sais que tu m’aimes, que tu réalises seulement un fantasme qui est aussi le mien, donc je ne me formalise pas du peu d’attention à mon égard. En plus, ça me fait tellement de bien ! Je n’ai jamais eu autant de plaisir pendant la pénétration, et cela monte encore ! Qu’est-ce que tu es endurant en plus ! Mon corps semble possédé, je ne peux m’empêcher de tirer brutalement sur mes jambes et mes bras, ce qui doit d’ailleurs faire tinter mes chaînes.
    
    Qu’est-ce que j’aimerais les entendre ! Qu’est-ce que j’aimerais me voir enchaînée ! Mais je ne peux que m’imaginer le son de mes liens, je ne peux que me représenter écartelée. Et c’est encore plus excitant ! Car je peux ainsi me voir par tes yeux, ou par une vue encore plus externe, je peux nous représenter en train de baiser comme un pervers le verrait avec des jumelles. Mon cerveau est saturé de pensées, de sensations, les coups de ta queue contre mon col m’envoient des décharges de plaisir qui me font un peu plus défaillir encore. Cette fois, c’est assez, je craque, je pars. Je ne suis plus là avec toi, je suis très loin, le temps s’est arrêté, tout devient infini.
    
    Mais l’infini est ...
    ... ponctuel, Dirac le sait mieux que personne. Alors je reviens à nous, je te sens éjaculer férocement au fond de mon vagin, et nous redescendons ensemble sur le toboggan de la jouissance. Tu t’es effondré sur moi, nous sommes tous les deux dans un état semi-conscient. Je te prendrais bien dans mes bras, mais je ne peux toujours pas, je reste dépendante de toi, même après cet intense plaisir que l’on a partagé. Enfin ! ai-je envie de dire.
    
    Je sens que tu bouges un peu sur moi, tu dois te sortir de ta torpeur comme je suis en train de le faire. Tu me tiens par la nuque, m’embrasse passionnément, longuement. Tu te places à mes côtés, contre moi, une cuisse sur les miennes. Tu m’enlèves le masque, la lumière m’éblouit, mais enfin j’entends ces mots qui m’ont manqué pendant des heures. Des heures ? Je te demande combien de temps a duré notre jeu. Trois heures et demie ! Je n’en reviens pas d’avoir pu attendre autant ! Mais je repense à toutes ces images qui ont circulé dans ma tête pendant ce temps, j’ai même fantasmé sur un viol !
    
    C’est là que le dégout de moi-même vient gâcher le bien-être qui m’a envahie. Qu’est-ce qui m’a pris de penser à cette horrible scène où je me faisais forcer… Je t’ordonne de me détacher, tu te rends compte que cela ne m’amuse plus du tout, alors tu t’empresses de le faire. Quelques minutes plus tard, tu as tout fait disparaître de ma vue, tu me prends dans tes bras, me réconforte par de douces caresses.
    
    — Qu’est-ce qui se passe, ma chérie, me ...
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