Le Frère de mon Ex (2)
Datte: 22/05/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Xprivatecase@gmail.com, Source: Xstory
Je trouvais une porte qui était entrouverte, je n’avais pas eu besoin de frapper, je l’avais poussée timidement, mais je savais qu’il m’attendait. La faible lumière des lampadaires et de la télévision de son salon creusait la forme de ses muscles saillants. Il me regardait dans les yeux avec un air féroce et vicieux à la fois. Son regard et son torse m’excitent déjà, je sens ma bite durcir dans mon pantalon, je suis face à lui, il me regarde aussi et je sens son regard se balader sur chaque centimètre carré de mon torse. A travers mon haut se dessinent mes pectoraux et mes abdominaux qui l’attendent avec impatience.
Je m’approche de lui et il commence à me détacher un à un les boutons noirs de mon haut d’uniforme pour enfin faire glisser le textile vers le haut, je sens qu’il en profite pour caresser mon torse au passage. Je relève mes bras musclés pour qu’il puisse achever de le retirer totalement, il marque avec ses doigts une pause sur mon visage. Et je les lui suce avidement en même temps que j’entreprends d’achever moi-même le retrait du haut de mon uniforme. On se regarde toujours dans les yeux pendant que ma langue joue tendrement avec ses doigts quand il décide d’appuyer sur mes épaules pour me mettre à genoux.
Dans ma lente descente où il ne cesse de faire pression sur mes épaules, je lui lèche son cou, je caresse ses bras musclés, je lui mordille ses tétons, et fais glisser ma langue le long de ses abdos dessinés ; il frissonne et s’existe, j’ai l’impression ...
... qu’il a envie de me soumettre à sa grosse verge. Car oui, vu la bosse qui commence à se former plus bas, j’ai bien l’impression qu’il en a été très gâté par la nature. Une fois ma descente achevée, il plaque ma tête contre son short afin que je sente sa grosse bite durcir à l’intérieur de son caleçon et il me souffle un :
— Tu la veux ?
Ma tête toujours plaquée contre son pénis, seuls ses vêtements séparent ma langue de son jouet favori et je lui réponds sans réfléchir et essoufflé comme un petit chien.
— Oui !
D’un coup, il attrape ma mâchoire avec force entre son pouce et son index afin de me redresser la tête pour que je le regarde dans les yeux, ma bouche se déforme sous la pression de ses doigts. Je le regarde, je ne peux plus bouger la tête, il se penche en avant et me dit :
— On dit “Oui, Maître ”!
Et il dépose un baiser sur mes lèvres toujours déformées par la force de ses doigts. Il relâche son étreinte et me donne une petite claque sur la joue pour me faire comprendre que je devrais dorénavant lui obéir comme un petit chien à son maître. Je ne sais pas pourquoi, mais son manège m’excite et me fait sourire. J’ai hâte de voir jusqu’où peut aller Florian que je considérais encore comme un petit garçon timide et puceau... Apparemment, il avait énormément changé! Je décide alors de jouer le jeu, et baisse les yeux en glissant doucement un :
— Oui Maître. Merci Maître.
Il a l’air satisfait et descend son short en m’ordonnant de lécher sa bite qui ...