1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1048)


    Datte: 22/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... fiers parce que si sensibles, ma chevelure blonde flamboyante et longue, je pourrai danser totalement sur la piste, seuls mes cheveux m’habilleraient et les pieds nus. La nudité ne me gêne pas du tout, dans mon métier on passe son temps à s’habiller et se déshabiller, aussi… ceci explique peut-être cela. Je sais que je plais, je ne suis pas naïve, je sais aussi qu’au lit je ne suis pas manchote, aller je vous l’avoue ! Mes conquêtes me disent même :
    
    - Mais comment fais-tu ? Tu es insatiable de sexe... une véritable jouisseuse …
    
    Oui, je l’avoue, j’aime faire l’amour, j’aime jouir tant que je peux quand on me baise. Je n’ai aucune pudeur. Je me suis déjà retrouvée seule nana en ‘‘gang bang’’ avec dix beaux gars et bien, savez-vous ce qui est arrivé : Nous avons baisé, oui baisé toute la nuit comme des bêtes en rut et au petit matin alors que ces messieurs étaient… cuits, vidés, j’en redemandais encore… Voilà qui je suis, normale mais très physique ! Et j’étais dans cet état d’esprit en entrant dans la discothèque. Tandis que les musiques de l’époque de ces années 80 éclataient à nos oreilles, Goldman, Balavoine, Les Rita Mitsouko, etc, nous commencions de savourer quelques alcools bien frappés. La musique, la sono poussée, l’alcool, la bonne ambiance et me voilà pleine d’énergie sur la piste bientôt accompagnée de France. Vêtue simplement d’une robe de soirée Dior, décolletée par devant jusqu’au milieu de la poitrine et dévoilant derrière l’intégralité de mon dos nu, ...
    ... jusqu’aux reins, jusqu’au début du sillon fessier (vous savez, comme la célèbre robe de la regretté Mireille d’Arc), inutile de vous dire les yeux ravageurs pointés sur moi d’autant que mes « petits » seins, libres de leurs mouvements, suivaient comme ils pouvaient le rythme endiablé que je leur imposais. Je m’en fichais, je dansais et ça, c’est sacré pour moi, je suis Libre ! Un danseur nous rejoint, 35/40 ans, beau gars, qui commence de tourner autour de moi au rythme de la musique, sa main effleurant mes reins, s’approchant, se reculant, m’enlaçant, plus grand que moi (1,80m) je suis obligée de lever la tête. Ses beaux yeux bleus plongent dans les miens, semblant lire en moi, tandis que, lascive, un peu enivrée, je m’entortille autour de lui…
    
    Mes tétons frottent contre sa chemise, ma peau luit sous les spots et les mouvements endiablés, je sens entre ses jambes, une bosse pointer, bosse que je frotte sans honte contre mon pubis surchauffé. D’autres couples envahissent la piste, mais je suis seule dans mon monde onirique et sensuel. Je sens mon bas ventre vibrer avec intensité, je sens mon ami le clito pointer son nez comme voulant participer à la fête, je sens même un liquide s’écouler de ma vulve, je suis … en rut ! En chaleur comme une bonne petite femelle qui a envie de se faire prendre… Oui, j’ai envie de baiser, la Vie est belle… si belle… Toute la nuit s’est passée ainsi, danser, boire un verre pour me désaltérer, danser à nouveau puis perdre la tête. Ah oui, oublier ...
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