Lucie, piégée ! Ch. 04 - Histoires de Sexe

Lucie, piégée ! Ch. 04

... soutenues. La sensation glaciale descendant le long de sa cambrure la rendait folle.

Après deux heures trente entre plaisirs et souffrances, la sensation de froid imageant très bien les deux, elle jouit encore une fois faisant l'impossible pour enfoncer davantage ces godes plus en profondeur. Face à tant d'assauts elle s'évanouit.

C'est par l'augmentation en vitesse trois qu'elle se réveilla, Patrice y ajoutant sa dernière surpise en versant une bouteille d'eau très fraîche sur l'ensemble du corps de Lucie qui se raidit d'un coup par ce froid si soudain, en relevant à la fois la tête encore une fois accompagné de ce seul bruit possible " Mmmmmh! " et contractant ses fesses. Il repartit pour la dernière fois avant de l'arracher à son calvaire orgasmique.

Maintenant, les vibros étaient d'une telle intensité qu'on pouvait voir le cul de Lucie vibrer. Cela était de nouveau insoutenable au point qu'elle en mordait son gode dans la bouche pour résister à ses trop nombreux sentiments qui se mélangeait en elle. Elle ne savait plus où donner de son corps et de sa tête littéralement happée par les paroles de Patrice qui se répétait inlassablement.

Deux orgasmes forcées et une demi heure plus tard elle était anéantie physiquement et psychologiquement. Elle était fatiguée au point de s'endormir mais son corps la rappelait à l'ordre à chaque seconde. Sa rédition était totale face aux contraintes que Patrice mettait en place depuis le matin.

N'ayant pas l'habitude de ce ...

... traitement, son physique ne pouvait plus répondre positivement aux godes vibrants, elle n'eu pas davantage d'orgasmes sur cette dernière demie heure.

Lorsque Patrice revint il commença par lui enlever le masque. Le visage de Lucie était rougie par ses respirations saccadée durant tout ce temps mais aussi par l'étirement du masque sur sa peau. S'ajoutait un peu de bave sur le bas du visage, de la machoire au menton. Ses yeux étaient eux, emplis de larmes.

Ensuite il éteignit les vibros et desserra la ceinture. Il enleva les godes. Lucie sentit comme deux trous d'air béants à la place de ces derniers. Patrice aurait pu facilement y mettre plusieurs doigts dans l'un comme dans l'autre, cela était de bon augure pour lui pensait-il en contemplant le résultat.

Enfin il détacha Lucie de chacune de ses attaches en terminant par les menottes. Il fallut un certain temps à Lucie pour se détendre et étirer son corps meurtrie de fatigue. C'était un combat pour elle que de s'allonger simplement sur le ventre.

Patrice lui enleva les écouteurs, Lucie n'avait pas eu le courage de le faire une fois détachée. Il ne dit rien de plus et sortit de la pièce laissant Lucie, nue vagin et cul bien ouverts, seule.

Exténuée par sa journée de sexe et d'humiliations forcées et continues, elle s'endormie aussitôt dans un lit bien mouillé.

Chapitre 8 : Nouvel usage de l'appartement

Lucie ouvrit les yeux. Ce n'était pas un cauchemar, elle était bien dans le lit de Patrice, nue mais ...