-
California Dream Suite 4
Datte: 21/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Aglaé, Source: Hds
... me câline un moment. -Je suis désolé Aglaé, pour Oz. Vraiment. -C'est pas de ta faute. Te torture pas. Je retourne et passe mes bras autour de son cou pour l'enlacer. Je l'embrasse doucement dans le cou et laisse ma serviette tomber. Je rejoins très vite sa bouche et sa langue trouve très vite la mienne. Je saute et enroule mes jambes à sa taille, il pose ses mains sur mes fesses pour me soutenir et me porter jusqu'à sa chambre. Il ouvre la porte du pied, entre et me pose sur son lit. Nos bouches sont incapables de se décoller. Nos langues ne peuvent plus se séparer, elles sont mêlées, nouées l'une à l'autre. Il tend le bras et prend un préservatif qu'il déballe afin de le dérouler sur son imposant membre qui semble crier sa faim. Mon cul se dilate pour me signifier la mêle chose. Son sexe couvert se présente à l'entrée du mien (ma chatte) mais il s'arrête et me demande : - T'es sûr de le vouloir après ce qu'il s'est passé dans la cave ? - J'ai besoin de toi là, vas-y. Je ne crains rien. Il relève mes jambes et rentre doucement son membre en moi. Il se penche sur mon corps et me bloque dans ses bras puissants, son corps pesant sur le mien. Il continue de me pénétrer doucement jusqu'à ce que ses couilles caressent mes fesses de leurs poils noirs. Il ne peut réprimer un sourire de satisfaction mais ma langue retrouve très vite la sienne derrière cette barrière d'émail blanc. Il me fait l'amour. Son corps ondule sur le mien, son bassin se balance et sa ...
... hampe coulisse en moi dans un mouvement empreint de tendresse. Nos respirations se font plus rauques et nos visages ne se séparent jamais de plus de 10 centimètres. Je le veux et il me veut. Je le sens qui s'accroche à mes épaules comme s'il avait peur que je le quitte en plein ébat. - Dis-moi si je te fais mal ou si tu veux que j'arrête. - Jamais, Jamais.. Je n'ai plus de vocabulaire. Je ne peux qu'apprécier ce corps, ce sexe, cet homme. J’attrape son crâne et le tire pour que nos bouches se rejoignent à nouveau. Notre étreinte passionnée continue encore et ne semble plus s'arrêter. Je veux rester coincé ici à jamais. Pour toujours bloqué sous son poids, nos corps parfaitement emboîtés. Le temps n'a plus d'emprise sur nous. Nos corps en pleine fusion réchauffent la chambre, les draps brûlent et s'humidifient en épongeant notre peau couverte de sueur. Nos langues s’emmêlent sans jamais se quitter, nos corps roulent et restent collés l'un à l'autre. Notre frénésie s'amplifie et atteint son apogée lorsque Marc se vide en moi. Il me donne de puissants coups de reins pour cracher son foutre au plus profond de mon être tout en soupirant lourdement comme si l'effort était intense. Je ne peux m’empêcher de hurler mon bonheur. Il s'est entièrement vidé en moi et finit par éclater de rire avant de venir plonger sa langue dans ma bouche. Mes jambes sont enroulées autour de sa taille et son sexe reste encore planté en moi. Il se roule sur le dos en sortant finalement son ...