1. La gérante de la galerie d'art (12)


    Datte: 21/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    Je commence à me branler, face à elle, pour la faire baver. Je vois ses yeux exorbités, fascinés, comme d’habitude, qui louchent sur mon engin, déjà bien raide (il faut dire que la voir ainsi, offerte, la jupe retroussée, le cul à l’air et ses gros seins par-dessus bord, le corps arqué, sur la pointe de ses bottes, comme une femme sur le marché aux esclaves) m’a plutôt fait de l’effet !
    
    Mais elle sent soudain une présence derrière elle. Elle n’a pas vu arriver l’homme qui s’est faufilé et s’est glissé jusque derrière elle, sans bruit comme un chat.
    
    Elle sent qu’il vient de s’accroupir derrière elle. Elle sent son souffle sur son fessier. Il est léger mais sa respiration est courte, elle sent à ses murmures que sa voix est rauque.
    
    Et puis les doigts se sont refermés sur ses mollets galbés et emprisonnés dans leurs bottes, il les presse légèrement, puis ils remontent, caressant les cuisses en faisant crisser le nylon brun.
    
    Quand ils touchent la peau nue au-dessus de la jarretelle elle est parcourue par un frémissement incontrôlable, elle se cambre davantage, creusant les reins comme une jeune pouliche affolée qu’on n’a pas fini d’éduquer ni de maîtriser, ne pouvant réprimer un restant de nature sauvage.
    
    Mais elle ne proteste pas, elle apprécie, savoure ces attouchements qui lui font sentir devenir un bel objet. Oui elle sent qu’elle est maintenant un objet sexuel entre les mains de ces deux hommes, l’objet de toutes les attentions, un objet de convoitise, ...
    ... l’unique objet de leur désir. La voilà sur un piédestal, offerte à leurs envies, promise à leurs futurs plaisirs… qu’ils ne vont pas tarder à prendre avec elle, à arracher de sa chair mûre, douce et voluptueuse.
    
    En attendant, s’ils bavent devant son corps de Messaline faite pour la baise la plus torride, mes index et majeur qui passent et repassent entre les fines lèvres de sa conque, dans sa fente des plus émouvantes, se rendent bien compte qu’elle aussi bave bien ! Elle englue mes doigts, sa cyprine gluante me dégouline en petits filets et elle commence à sentir cette humidité qui rafraichit la peau découverte de ses cuisses.
    
    Celui qui examine son côté pile s’est lancé dans une exploration mettant à contribution ses cinq sens :
    
    ses fesses sont palpées lentement, il cherche à en évaluer l’élasticité, la texture, la douceur de leurs téguments ; il pinçote, presse, fait rouler leurs chairs, recherche toute trace de cellulite (qu’il ne trouve pas, fort heureusement – je dis « fort heureusement » car sinon, cet homme très exigeant et très dur avec les femmes d’un certain niveau se serait certainement permis de lui faire expier cette faute avec de cinglants coups de martinet sur l’objet du délit) ; il finit par les écarter très lentement, jusqu’à avoir la vue qu’il souhaite sur sa rosette :
    
    il la laisse ainsi les fesses écartées, bien ouvertes, et ses lèvres laissent échapper une sorte de grognement satisfait, jusqu’à ce qu’elle comprenne qu’il prononce bien ces mots :
    
    « ...
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