Tante est si bien (Jour 3)
Datte: 21/05/2019,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Partouze / Groupe
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... elle qui vagit, en prenant ce qu’elle cherche, se tordant dans tous les sens, avançant son bassin, puis revenant, et plus vite et plus fort…
Elle feule maintenant… Ecartelée face à moi…
Je l’aide à s’empaler, je l’aide à me prendre… Je vais jouir encore, encore et encore… Je frise l’accident…
Ses baisers sont des bonbons, elle me laisse respirer, je reprends le contrôle, c’est vraiment une experte…
Elle me prend tout entier, coulisse en fermant les yeux, savourant mon pieu, bute contre mon pubis, elle est trempée de mouille…
- Tu sens comme j’ai envie de toi ? Tu m’excites, tu es doux, gros, je te sens impatient, je te sens hésitant, tu manques d’expérience… Viens, allonge-toi sur moi, prends-moi avec tendresse… Fais-moi l’amour avec tes vingt ans, comme si j’étais pucelle… Emporte-moi dans ton monde, fais vibrer tout mon ventre, comme s’il découvrait le plaisir du sexe, d’un sexe masculin, un jeu d’adolescents, aux portes de l’extase…
Elle écarte ses cuisses comme une danseuse, je me love contre elle, dans ses bras, elle est nichée dans les miens, je sens sa chatte s’ouvrir, elle guide mon sexe, qui la pénètre naturellement, profondément, entièrement, elle est étonnante…
Je la prends sans façon, plonge et vogue sur les vagues… Dans cette intimité si pure, si nouvelle…
On commence un ballet, un duo insolent, pervers, débridé…
Elle se contorsionne, s’offre, se refuse, revient, je soulève ses cuisses et la prend jusqu’à la garde, accélère mon rythme, ...
... elle se met à crier…
- Oh, oui ! Tu es en moi… J’aime quand tu me serres dans tes bras, j’aime quand tu me prends comme un jeune chien fou… Oui !… Possède-moi… Ondule-moi… Fais-moi mourir de plaisir…
Je la prends en ciseau, la pousse encore plus loin, la serrant contre moi, elle est submergée de vagues de plaisir, elle s’est écartelée, faisant le grand écart, jouissant sans relâche…
Je la lutine comme un malade, sans prendre de gants, elle griffe le cuir, masturbe son clitoris, vit son plaisir à fond, qu’elle extériorise et commente allègrement, délirante et offerte…
J’empaume ses seins durcis, excite les tétons, elle jouit, jouit, jouit encore, déversant un torrent de paroles, ondulant son plaisir, griffant mes épaules…
Elle est trempée de cyprine, que rejoint ma semence, je viens d’exploser…
Au bout de quelques minutes elle reprend vie, entre mes bras…
- Tu aimes les femmes, toi… J’ai envie de te revoir plus tard… Edwige, elle, est plus sentimentale, vas la rejoindre au bar, dis-lui que c’est moi qui t’envoie. Si elle est prise attends-là en lui faisant un signe…
Ca te dit ensuite de venir avec nous, en fin de soirée vers une heure ? Nous serons toutes les quatre dans un salon privé, tu sembles apte à supporter l’effort…
- Oui, je veux bien… J’ai aimé prendre tes vingt ans…
- C’est gentil, j’ai aimé ta fraîcheur, apprécié ton ardeur, mais il faut que je participe, que j’anime… Je suis la fille de Marie…
Elle se relève, prend un peignoir, et ...