1. Une chance de cocu 6


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... me dévoile sa poitrine pleine, son ventre moelleux, sa taille marquée, ses hanches larges et ce sexe tout chaud, prêt à recevoir un homme. Ses genoux et ses pieds reforment le M accueillant, les mains ouvrent la cible. Elle me sourit, elle m’attendait, elle s’offre à moi et insiste:
    
    - Prends-moi. J’ai envie de toi.Je n'en peux plus d'espérer et d'attendre qu'un homme veuille de moi. Prends pitié, baise-moi, j'en ai tellement besoin.
    
    Moi aussi, j’ai envie, j’ai envie d’elle puisqu’elle se donne, j'ai envie de me perdre dans un corps de femme. Je la contemple, dans sa maturité accomplie, encore très belle, son visage rayonnant à lui seul suffirait à me séduire. J’oublie tout, le tabou de la différence d’âge, l’interdiction de me lier à la propriétaire. Un homme et une femme nus se désirent, ont besoin de faire l’amour. Ma caresse devient plus ferme, je m’allonge à son côté. Ce n’est plus madame la propriétaire, elle me tutoie, elle est la femme en recherche de sexe et d’amour, je suis celui qui peut la satisfaire et compléter sa masturbation. Je l’embrasse. C’est un baiser chaud, sensuel de deux adultes expérimentés, le baiser qui brise toutes les barrières, l’union de deux bouches, le rapprochement de deux corps, l’étreinte forte où l’on se perd contre l’autre. Nos bras serrent, nos mains reconnaissent, caressent.
    
    Violette ne veut plus s’attarder en préliminaires. Elle tient en main ma virilité, la serre et l’apprivoise, la présente à son sexe préparé par ses ...
    ... doigts, pousse son ventre vers moi, m’aspire en elle. Je nage dans un nid de velours, je suis au chaud, je suis bien, si bien. Je suis dedans, j’embrasse et elle m’embrasse si amoureusement, m’accueille si paisiblement en son sein. Viennent des contractions autour de mon pénis, des contractions troublantes, émouvantes. C’est un appel. J’y réponds en adoptant une marche lente. Mon pieu se retire lentement en goûtant chaque millimètre du délicieux retrait. Et je reviens au fond, je cale mon scrotum aux grandes lèvres.
    
    Elle m’embrasse à pleine bouche. D’un coup de ventre elle me remet en marche arrière, mais je ne peux pas sortir, ses jambes m’enserrent et me remettent au chaud. Nous nous laissons porter par l’instinct créateur du va et vient perpétuel. Et le rythme s’accélère, nos souffles se font écho toujours plus vite. Je vais et je viens, elle pousse son ventre et le reprend. Ses ongles s’enfoncent dans mon dos. Elle se met à geindre, fort, plus fort. En moi monte le bouillonnement de ma sève : je me fixe immobile dans le ventre et je sens partir en elle tout le sperme en attente d’une délivrance. Violette agite sa tête de tout côté et rit de bonheur. L’image d’Elodie m’a quitté, enfin. Est-ce que ça va durer?
    
    Violette était en manque, son veuvage la privait des plaisirs de la chair. Elle se consolait comme elle pouvait. Le spectacle de sa détresse m’a bouleversé, j’ai pris feu, j’ai connu une sorte de coup de sang et j’ai volé à son secours. Elle avait le feu, je me suis ...