1. Explorations immobilières


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, extracon, Masturbation intermast, entreseins, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, extraconj, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... résigné (Dumeschery, me confie-t-il, je compatis), se devant de répondre. Il s’isole pour dialoguer avec ce client assez casse-pieds. Bien qu’il soit au niveau bas, nous l’entendons bien au niveau haut, là où sont les chambres et un bureau.
    
    Nous sommes dans une grande chambre, Arnaud me confie :
    
    — Quand je vois un lit et que je suis avec toi, je me rappelle toujours cette fameuse fois où nous avons été coupés en plein vol !
    — C’est vrai que tu passes ton temps à être avec moi et dans un lit ! Bêta, va !
    — Ah, toute une vie dans un lit avec toi, le pied, le rêve !
    — Pff ! Gros bêta, va !
    
    Damien tend l’oreille, puis demande :
    
    — Ça discute ferme ! Ça lui arrive souvent, à ton mari ?
    — Un peu trop souvent à mon goût… Et en plus, c’est Dumeschery…
    — Et il a quoi de spécial, ce Dumeschery ?
    — Il est crampon. Au mieux, ça va durer une demi-heure.
    — Ah quand même ! On visite la chambre suivante ?
    — OK.
    
    Belle chambre avec salle de bain. Si j’achète, je pense que c’est ici que je ferai ma chambre. Un des murs est carrément une immense vitre qui donne sur une mezzanine. Arnaud tape sur le verre :
    
    — Vitre sans tain.
    — Sans tain ? Tu veux dire qu’on ne nous voit pas de l’autre côté ?
    — Exactement !
    — Un truc de vicieux !
    — Exactement !
    
    Et innocemment, il pose sa main sur mon sein. Je proteste mollement, sans toutefois retirer ses doigts :
    
    — Tu veux bien enlever tes pattes de là ? De plus, sous le nez de mon mari !
    — Il ne nous voit pas, mais nous, ...
    ... nous le voyons.
    — C’est pas une raison, Arnaud !
    — Mais si, mais si ! Et au moins, on saura quand s’arrêter…
    
    Je n’ai pas le temps de répondre qu’il m’embrasse ! Oui, c’est vrai, je pourrais me débattre, lui balancer une formidable gifle, crier au secours. Mais non, rien de tout ça. Je sais pertinemment qu’Arnaud me plaît, et lui aussi le sait. Et le tout sous le regard de mon mari qui pourtant ignore tout de ce qui se passe si près de lui ! C’est carrément pervers, ce truc ! Ceci étant, après un long baiser partagé, je pose quand même ma main sur sa bouche :
    
    — Tu es incorrigible !
    — Je sais… mais avec toi, il m’est difficile de ne pas tenter ma chance.
    
    Un peu inquiète, je regarde plus bas à travers la vitre, mon mari est toujours très occupé au téléphone. Arnaud, qui ne m’a toujours pas lâché, me dit :
    
    — Tu vois, pas de soucis ! Bisou ?
    — T’exagères !
    — Mais tu n’as pas dit non !
    
    Et il commence à me peloter les seins, comme il semble adorer le faire depuis quelque temps. Et comme d’habitude, je me laisse agréablement faire, me contentant de le gronder gentiment. Puis il s’enhardit, glissant une main sous mon t-shirt bleu. Il joue vraiment au sale gosse, mais ça m’amuse, et même, ça m’émeut de revenir comme ça en arrière, comme si lui et moi, nous reprenions notre histoire après plus de vingt ans de coupure. Nostalgie quand tu nous tiens…
    
    Je jette un petit coup d’œil vers la glace, vers mon mari toujours en train de s’agiter au téléphone, tandis que mon ...
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