1. Explorations immobilières


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, extracon, Masturbation intermast, entreseins, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, extraconj, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... toi…
    
    J’ôte prestement mes bas que j’éjecte au moins. Avec eux, je devais faire un peu pute, ce qui a sans doute décuplé le désir d’Arnaud pour ma personne. Puis, telle une chatte, je me blottis dans ses bras, je suis si bien. J’entends sa lente respiration, elle m’apaise. En un rien de temps, je m’endors.
    
    Quelque chose sonne, j’ouvre les yeux. Sur le coup, je ne comprends pas où je suis, ce que je fais là, puis je réalise. Je suis toujours dans cette belle chambre avec Arnaud, contre Arnaud. Je lève la tête, celui-ci me sourit :
    
    — Bonjour, ma chérie !
    — Bonjour, mon Arnaud !
    
    Et il m’embrasse. J’adore ce genre de réveil !
    
    Peu après, nous continuons notre langoureux baiser sous la douche. Du sexe, de l’eau chaude, c’est vraiment une bonne façon de commencer la journée !
    
    J’adore mon corps mouillé contre le sien, nos épidermes moites collés, l’eau chaude qui coule sur nous, nos bouches toujours rivées l’une à l’autre. Je raffole de ces mains qui me caressent, qui me prennent, qui me massent, qui me possèdent. J’aime ce sexe dur qui presse mon ventre, ce morceau de chair qui m’a offert tant de plaisir cette nuit, tout comme cette bouche vorace et ces mains exploratrices !
    
    L’eau s’écoule inlassablement sur nos têtes, sur nos corps, elle ruisselle sur nos peaux, pour aller se perdre ailleurs. Moi aussi, je suis ailleurs, trop avide de baisers brûlants, de caresses frissonnantes, de tout ce que me donne mon amant. C’est alors que je décide de donner un peu moi ...
    ... aussi.
    
    Quittant ses lèvres, déposant mille petits baisers, je glisse lentement sur son cou, sur son large torse, je taquine ses tétons érectiles au passage, puis je continue à descendre petit à petit vers son ventre pour arriver à cette verge bien dressée. Puis telle une belle sucette, je l’accueille suavement entre mes lèvres et je commence une douce fellation sous l’eau chaude qui continue de ruisseler sur nous. Amoureusement, je choie ce bâton de chair frémissant, je lèche son bout écarlate, je taquine son frein tendu, ses faibles replis, pour ensuite suivre du bout de ma langue une tige palpitante. Bien vite, je sens qu’Arnaud ne va pas résister bien longtemps à mes diverses agaceries. Alors je lui susurre :
    
    — Vas-y, laisse-toi aller !
    — Je… je peux ?
    — Oui, vas-y, remplis ma bouche de foutre !
    
    Puis joignant le geste à la parole, j’absorbe son sexe. Deux-trois va-et-vient et déjà une première goutte perle. Je la capture goulûment. Devant cette preuve de ma gourmandise, Arnaud se laisse alors aller ; une première salve chaude remplit ma bouche. Sans effort, j’avale ce qu’il m’offre. Une deuxième la remplace aussitôt, suivie de bien d’autres. J’aime ce genre de sucette, surtout l’effet qu’elle produit sur mon homme, celui que je sers, celui que je suce, celui que j’avale. Et je sais que les hommes sont fous de ça !
    
    Puis la sentant mollir entre mes lèvres, je l’abandonne après lui avoir donnée un dernier baiser. Je remonte vers les lèvres de mon amant, et c’est ...