J'ai toujours aimé le coloriage
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
jeunes,
fsoumise,
fdomine,
sm,
exercice,
Auteur: Knackibaul, Source: Revebebe
... donneraient vite l’impression que tu les tends vers moi pour te faire battre.
Je la fesserais. Avec la règle très scolaire que j’ai à ma disposition, bien sûr… D’aucun hurleront au cliché, mais personnellement, je m’en satisferais bien quand il s’agira de rougir ses fesses.
Faut dire que cette petite salope est ma voisine, et que ça fait cinq mois que je fantasme sur elle. Depuis la rentrée en fait, lorsqu’on a emménagé dans cette résidence universitaire. Dès la deuxième semaine, je l’ai vue qui allait vers les douches, qui sont communes ici. Il était très tôt, elle est sortie de sa chambre avec seulement une serviette autour d’elle et, sous le bras, son petit gel douche bleu. Vu le style de fille, ce doit au moins être un gel douche biologique, équitable et respectueux des Droits de l’Homme.
Or, moi, le matin, je pense au sexe. Je ne vais pas me doucher, moi, à six heures du mat’. Depuis ce jour-là, je pense toujours au sexe, mais sous la douche…
Pitié, qu’un jour, elle me traîne en laisse jusqu’à sa cabine, à quatre pattes derrière elle. Qu’elle me fasse regarder pendant qu’elle enduit ses petits seins de ce gel bleu qui lui colle à la peau. Je voudrais – oh, non, je n’aurais pas le droit d’avoir de volonté. Je suis sûre qu’elle serait cruelle avec moi. Qu’elle me laisserait dans un coin de la cabine, pieds et poids liés, les fesses trempant dans l’eau, tandis qu’elle se caresserait langoureusement en accentuant la cambrure de ses reins. Mon sexe gonflerait ...
... sans que je puisse le soulager, en la voyant se pencher pour m’exhiber son sexe fendu et son anus couverts d’une mousse bleutée. Ah, à quel point je désirerais enfouir mon visage dans son entrejambe pour le manger, en la voyant si belle et si prétentieuse…
Enfin, tout ça prouve bien que la promiscuité des résidences universitaires pousse notre jeunesse à la décadence. Même les cuisines communes m’excitent.
Il y a deux jours, je me dirigeais vers le lieu-dit en envisageant avec bonheur une assiette de pâtes cuites, cuisinées et mangées en 20 minutes douche comprise. Je l’ai trouvée derrière les fourneaux, seule dans cette petite pièce étriquée bien trop remplie d’accessoires d’aspect phallique pour être totalement innocente.
Elle préparait des spaghettis bolognaise – genre je suis d’origine italienne, j’ai des beaux cheveux bouclés d’un noir méditerranéen alors forcément, je me fais des spaghettis bolognaise moi même, en exhibant éhontément mon coulis de tomate – qui sentaient exagérément bon. Formules de politesse habituelles, ça va, oui et toi, ça va aussi, merci, c’est marrant, moi aussi je pensais manger des pâtes ce soir, ah oui, tu veux un peu de ma sauce bolognaise ?
Et toi, t’en veux de ma sauce ? Dans mes oreilles, ça sonnait clairement pornographique. Non mais c’est quoi ces propositions indécentes ? Elle croit vraiment que mon plus grand fantasme serait de la renverser sur la table de cette cuisine, de lui enlever son jean et sa culotte et de relever son ...