1. La quarantaine épanouie avec un jeune amant épanouissant...


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, fplusag, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Auteur: Femmecharnelle, Source: Revebebe

    ... j’ai juste envie d’être plus proche de lui parce que sa sensibilité m’a touchée et que j’ai besoin de sentir sa chaleur et que je me sens souvent seule. Un geste très subtil de sa part me touche et m’électrise : il caresse discrètement mon genou avec son petit doigt et j’en suis toute chose, toujours émue par les gestes ou micro gestes les plus simples, mais à mon sens si révélateurs. J’aime et apprécie la délicatesse de ce doigt qui initie un contact très timide et doux.
    
    Ne tenant plus à une envie de soulager ma vessie, je lui indique que je dois aller aux toilettes, petite pause qui va aussi me permettre de faire le point sur mes émotions embrumées.
    
    Je me lève difficilement, je me sens lourde et engourdie. Dans les toilettes, la partie consciente et raisonnée de ma personne se dit que ma présence ici chez lui est de la folie pure, l’autre partie a envie de pousser la folie jusqu’au bout, créant même un climat humide dans mon intimité : je sens mon sexe fébrile et en manque de caresses et d’attentions. Je suis tentée de me toucher, mais le lieu ne s’y prête pas et c’est de lui que j’ai envie, de ses mains sur moi que j’imagine et espère. Je reviens dans le salon, en lui avouant que je suis saoule et je m’affale dans le canapé à ses côtés.
    
    Le bougre a senti l’ouverture et le moment charnière, et me laissant à peine m’asseoir, il m’embrasse d’un coup avec empressement et la fougue de ses 24 ans. Je n’ai pas le temps de réfléchir, de souffler, c’est aussi bien, ...
    ... j’apprécie et vis le moment tel un cadeau : mon dernier amant ne m’attirait pas plus que cela, j’avais juste calmé ma faim, sans regret, mais avec une erreur de casting après des années de disette.
    
    Il y a bien longtemps qu’on ne m’avait témoigné une telle envie, et bien longtemps que je n’avais désiré aussi ardemment qu’un homme me touche. Sa bouche est gourmande, demandeuse, la mienne répond au même rythme et avec avidité. J’ai peine à croire ceux qui n’aiment pas embrasser, pour moi c’est un préliminaire indispensable, un facteur déclencheur qui même pendant l’acte entretient puissance 10 ma propre excitation. Même dans une relation de couple classique et durable, je n’envisage pas un instant de me passer de baisers langoureux.
    
    Nos langues se cherchent, se découvrent, s’agacent, ses baisers sont profonds comme j’aime, le temps s’est arrêté. Ses lèvres sont douces, charnues, cherchent les miennes, nos langues sont joueuses. Je caresse sa joue, ses cheveux, j’enfouis mon visage dans son cou, et n’y tenant plus je reviens à sa bouche qui appelle la mienne. Ma main caresse son bras à travers son t-shirt, je sens sa main sur ma cuisse, qui remonte sur mon bas. Le temps s’est arrêté et nous faisons durer la découverte.
    
    Il bascule légèrement contre moi, me laissant tout loisir d’aventurer une main sur son dos… Ma main se fait plus audacieuse et descend vers sa taille. La sienne se fait plus aventureuse et s’immisce en haut de ma cuisse, laissant découvrir le haut de mes bas et ...
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