1. La quarantaine épanouie avec un jeune amant épanouissant...


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, fplusag, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Auteur: Femmecharnelle, Source: Revebebe

    ... nos langues se mêlent toujours cherchant l’humidité dans nos sexes, dans nos bouches.
    
    Changeant de rythme, je le repousse sur le dos, j’ai envie de prendre la main à mon tour et de mener la danse. Lui sur le dos, je m’assieds sur son sexe, et l’aidant de ma main, je le guide pour l’introduire dans mon sexe. Je m’assieds sur sa queue que je sens s’enfoncer en moi : je profite de ce moment où les deux sexes se cherchent, s’emboîtent l’un dans l’autre crûment. Mon vagin mouillé et détendu avale sa queue raide que je sens pousser loin en moi. Je l’embrasse à nouveau, nos langues se cherchent toujours avec force. Ma poitrine bouge au rythme de mes mouvements, il se saisit à pleine main d’un de mes seins, et d’un téton et se met à le sucer alors que je continue à donner le rythme.
    
    C’est divin, je suis terriblement excitée par cette caresse, par le fait qu’on me suce et titille le bout du sein. Je le sens durcir sous sa langue, sous ses mordillements qui accentuent terriblement mon excitation. Je gémis. Que c’est bon, que c’est excitant ! Je le vois avec mon sein énorme dans la bouche, il passe de l’un à l’autre, et fait durcir mon deuxième téton en le mouillant le mordillant également, l’aspirant, je le sens durcir terriblement. Je continue de la même façon à monter et descendre à mon rythme sur sa queue raide, mon vagin l’aspire, le suce, l’emprisonne, avec parfois une petite sortie de route que je rectifie aussitôt en guidant son gland à l’entrée de ma chatte. Je profite ...
    ... d’une caresse au passage sur mon clitoris qui, pendant que je descends sur sa bite excitante, profite de ma mouille en lubrifiant son gland lisse et dur pour faciliter la nouvelle pénétration. Le moment dure, chacun halète, je le vois fermer les yeux au comble de l’excitation et je m’excite de le voir à ma merci.
    
    Il m’embrasse toujours, je descends de mon promontoire, visage contre le matelas, il en profite pour se retourner et faire peser le poids de son corps contre mes fesses, mon dos. Il m’encourage à m’agenouiller, je sens son envie de me prendre en levrette et je tends mon fessier proéminent pour lui faciliter la tâche. Prévenant, il me demande de reculer sur le matelas, pour que je ne me cogne pas la tête contre le mur sous ses coups de boutoir. Prétentieux le bougre ! Je suis touchée par l’attention délicate, émue et excitée à la fois, attendant le cul tendu, sans le voir, impatiente de le sentir contre moi et en moi.
    
    Je sens l’extrémité de son sexe contre ma fente toujours aussi humide, il présente son gland à l’entrée de mon vagin, appuie, sans trop de ménagement, et entre quasiment d’un coup. Je suis soufflée de sentir qu’il force la chose, excitée pour autant de sentir son envie plus impérative, limite dominatrice. Prenant appui sur mes bras, je me lève légèrement, et c’est maintenant lui qui mène la danse, tenant mes fesses de ses mains, il me le fait sentir, je suis à la merci de ses coups de boutoir qui claquent contre mes fesses, sentant ses couilles qui ...