1. Severin philosophe


    Datte: 19/05/2019, Catégories: fh, inconnu, profélève, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, soubrette, humilié(e), sm, fouetfesse, conte, initiatiq, bourge, Auteur: satoch, Source: Revebebe

    Résumé : Severin est depuis quelques jours dans la maison de la famille de son élève. Il a dû en passer par les caprices de la mère puis par ceux de la soubrette.
    
    Au matin, les émotions de la nuit sont toujours saillantes sur Severin. Le bas enveloppe toujours doucement le sexe bien sûr dressé du jeune mâle. Il le retire le plus délicatement possible, de peur que le moindre frôlement ne vienne à bout de son héroïque résistance.
    
    Il se rue sous la douche, étrangement troublé par sa propre attitude : il s’est docilement plié à la perverse exigence de la soubrette de ne pas se caresser. Il serait presque ridiculement fier d’avoir su résister à la tentation, démultipliée par l’avalanche ininterrompue d’images de la tentatrice qui l’a submergé toute la nuit.
    
    Mais nul triomphe de la vertu ici : c’est bien le vice qui lui a donné la force de prolonger le jeu. Il doit tourner franchement le robinet vers l’eau froide pour avoir raison de sa raideur et pouvoir ouvrir une brèche à travers la turpitude dans laquelle il se repaît sans vergogne.
    
    Il descend prendre le petit déjeuner, forçant à dure peine son esprit à se consacrer à la préparation de son prochain cours. C’est pourquoi c’est bien avec soulagement qu’il voit M. Hill dans la cuisine, occupé à prendre son café devant son journal, seul.
    
    — Tiens, bonjour mon jeune ami. Vous semblez épuisé. Le lit ne vous convient pas ?
    — Oh, mais si, Monsieur. Je présume que c’est le manque d’habitude des grandes maisons et de ...
    ... leurs bruits.
    — Des bruits… ?
    
    Severin croit voir son hôte rougir un instant.
    
    — Notre professeur parle des craquements qu’une vieille et grande maison telle que la vôtre ne manque pas de produire, bien sûr !
    
    C’est Christiane qui surgit, un panier de linge dans les bras. Elle a troqué la classique robe noire et tablier blanc pour une blouse blanche, descendant à mi-cuisses, seuls cinq boutons sur dix étant passés, le bas et le haut ayant été « oubliés ». Un instant rassuré que l’intervention de la soubrette ait opportunément rattrapé sa maladresse, Severin découvre un bas noir mis en évidence, tout en haut du tas de vêtements. Le regard de Christiane vient capter celui de Severin, qui découvre son sourire mutin.
    
    M. Hill se lève comme un ressort.
    
    — Je dois partir. Bonne journée !
    
    Christiane pose son panier sur la table et se penche vers Severin. Cela permet à celui-ci, toujours aussi observateur, d’identifier deux des cinq boutons non utilisés. Elle lui murmure :
    
    — Celui-ci est celui que j’avais gardé avec moi, bien au chaud, et j’ai été beaucoup plus vilaine que vous…
    
    Le souffle, la voix qui prend des intonations chaudes, les images qui déferlent à nouveau, cette fois-ci avec ce bas, qu’il imagine blotti entre les cuisses de la jeune femme…
    
    — … Oui, juste là… Allons, Mademoiselle vous attend dans la bibliothèque, mais je ne pense pas que vous ayez le temps de prendre une douche froide cette fois-ci.
    
    Et elle reste là, les bras croisés, le sourire aux ...
«1234...9»