1. Mon premier voyage de femme « libre »… 22° partie et FIN


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    Nous venions de passer Clermont-Ferrand quand Jeff décida de sortir de l’autoroute pour trouver un restaurant. La sortie débouchât sur un champ d’éolienne. Jeff s’arrêta dans un petit chemin. Il sortit et vint m’ouvrir la portière. Je me sentais toute petite devant ces tours de métal. L’effet était saisissant. Le bruit était étourdissant. Nous restâmes un moment à contempler les pales qui tournaient. Jeff me prit la main pour marcher au pied des éoliennes. Ma robe était restée ouverte. Elle virevoltait autour de moi. Je marchais quasiment nue. Jeff s’écarta de moi et me sourit. Je ne pouvais m’empêcher de rougir… Comment fait-il ?
    
    Il prit de nombreuses photos sous toutes les coutures. Sur les dernières, il me demanda de me cambrer contre une barrière et d’écarter les fesses pour faire ressortir le plug. Obéissante, je posais. J’en avais l’habitude avec mon mari Paul, photographe dans l’âme.
    
    Tandis que je posais, indécente, les fesses écartées, je vis au loin un homme qui courait pour se rapprocher. Il s’arrêta pour nous observer. Un voyeur sans aucun doute.
    
    J’en avais presque oublié Jeff que je surpris contre moi. Mon œuf se mit à vibrer lentement. Jeff s’empara de mon bouton, déjà tout dur, pour l’exciter. Son autre main avait empaumé mon sein gauche et ses doigts martyrisaient mon téton. Une sensation qui alternait douleur et plaisir. Il m’obligea à me cambrer davantage et sortit le plug de mon anus pour me le glisser dans la bouche. J’observais tant bien que mal ...
    ... mon voyeur qui semblait s’agiter. J’étais proche de la jouissance. Jeff le sentit et vint positionner sa queue contre mon anus pour venir dans mes reins. Son sexe, dur comme du bois, s’enfonça facilement. Mon fourreau anal s’était assoupli lors de mon séjour parisien.
    
    J’entendis Jeff gémir une fois sa queue totalement enfouie dans mon fondement. Ses baisers dans le cou, ses mains et ses doigts agiles me faisaient perdre pied. Je me déhanchais, doucement tout d’abord, puis plus rapidement pour donner du mouvement à son pal profondément enfoncé. Je n’étais qu’un sexe à la sensibilité exacerbée. Je branlais mon amant avec mon cul et mon plaisir progressait par vagues successives. Jeff me laissait faire. Il jouait avec ses mains, comme le ferait un pianiste. J’étais son clavier ; les touches, mes multiples zones érogènes. Nous nous aimions à l’unisson. Je dédiais mentalement notre représentation au voyeur qui n’aurait plus jamais l’occasion d’assister à un tel spectacle.
    
    Je me sentais jouir du cul. Les vibrations de l’œuf complétaient mon plaisir. Je me sentais légère, aérienne. Je volais dans un autre monde. Un monde fait d’amour, de plaisirs et de jouissances. Soudain, une vague plus puissante que les autres me submergea. Ma tête ballotait dans tous les sens. Je criais. Je pleurais. Je jouis puissamment. Mes jambes me lâchèrent. Jeff me retint par la taille. Ce geste lui donna le coup de grâce. Sa queue enfoncée encore davantage lâcha des jets puissants qui inondèrent mes ...
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