1. L'amour au téléphone


    Datte: 18/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Badmax, Source: Hds

    Cette recette semble un peu bizarre et surtout presque impossible à y croire et pourtant la voix l’envie, le désir, sont toujours dans notre tête au moment où nous voulons faire l’amour, pratiquer du sexe, s’aimer ou simplement se toucher, se caresser, pouvoir même se sentir.
    
    Pendant cinq ans, j’ai fait l’amour à ma complice, à ma tendre amie, au moins deux jours par semaine.
    
    Lorsque je ne travaillai pas et cela durait quelques-fois toute une après-midi, voir toute une nuit.
    
    Deux jours de suite bien sûr. Nous avons tous les deux assouvis nos phantasmes, amour, tendresse, soumission, violence, fessée, first anal, nous avons même pratiqué du candaulisme, voyeurisme. Et nous voilà maintenant séparés, d’au moins 300 km. Et oui j’ai perdu mon travail et suis rentré chez moi, chez mon épouse. Celle-ci n’a aucune envie de sexe, en tout cas pas avec moi.
    
    Je ne peux oublier cette amie si tendre si douce que je contacte maintenant depuis bientôt deux ans au téléphone tous les jours….
    
    Je l’ai quand même revue deux fois depuis notre séparation et j’espère encore l’a revoir.
    
    Les meilleurs souvenirs de ma vie concernant ma sexualité, c’est elle. Ses cheveux roux arborent son visage ténébreux, ses lunettes embellissent ses yeux coquins, sa bouche ressemble à la couleur de fraise, ses seins voluptueux rebondissent à chaque tiraillement de ses tétons. Son nombril invite ma langue à le pénétrer, son sexe sauvage et nature sent bon. Il s’ouvre largement à mes envies et à ...
    ... mes baisers, à mes doigts, à ma verge, à mon gland. Ce sexe gicle et éjacule de la cyprine sur mon visage alors que ma bouche boit à cette source divine. Cette vulve qui mouille mes draps, mes fauteuils, mon divan, mes chaises, mon sol, comme une fontaine, comme une source naturelle. Ces jambes ouvertes longues que j’écarte, que j’étire, que je manipule avec violence ou douceur, pour
    
    mieux l’a pénétrer, mieux la sodomiser, mieux m’engloutir en elle. Oui, oui, je ne rêve pas, je repense à tout cela, alors que nous sommes séparées.
    
    Tous les jours nous nous écrivons par sms, souvent par téléphone, je lui envoie de nombreuses photos, la plupart sont sexuelles. Encore ce matin, sorti de mon lit, mes premières pensées ont été pour elle, immédiatement mon sexe s’est mis à bander, une érection forte, dure, comme si j’allais l’a pénétrer. Je me rappelle d’une anecdote qui s’est passée entre nous. Un matin, alors qu’elle dormait, je me lève de bonne heure, et je me prépare un café. Nous avions fait l’amour longuement la veille. Tu dormais profondément. Je me mémorise donc cette nuit dans tes bras, en toi, mon sexe éjaculant chaudement dans tes entrailles et toi giclant violemment contre mon pénis et mes testicules, noyant l’agresseur dans une mare chaude et bouillante dans un cri de jouissance passionnée. De cette pensée mon sexe a tout de suite repris sa position d’attaque. Mais tu dormais je ne voulais pas te réveiller, t’obliger à refaire ce qui s’était passé entre nous. Mais ...
«123»