1. Jeanine et sa fille I


    Datte: 18/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Mature, BDSM / Fétichisme Auteur: ROMARIO456, Source: xHamster

    J'étais encore au lycée en seconde ou en première les dates se brouillent dans ma mémoire, c'était la fin des années 80, mes parents avaient un couple d'ami : Bernard et Jeanine qui avait 3 enfants : une fille aînée Angélique et 2 fils. Angélique était ma cadette 4 ans, elle était blonde-rouquine avec des yeux bleus de loup, fine, pâle et très sportive, elle était la préférée de ses parents et se comportait en despote avec ses frères. Je n'aimais pas bien Angélique que l'on appelait "Lique" capricieuse et intrigante, son comportement de " chouchoute" m’affligeait.
    
    Jeanine, sa mère, par contre m'excitait. C'était une femme d'une quarantaine d'année, un peu nunuche, grande et charpentée, brune, coupe carré, un peu forte, un gros cul, des bonnes cuisses et des gros seins. Elle s’habillait presque exclusivement en jeans ou en leggins avec des Stan Smith blanches et des hauts qui moulait sa poitrine et son ventre.
    
    Je me branlais régulièrement en pensant à elle après l'avoir vu, je l’honorais secrètement d'une masturbation frénétique. Je le redis : elle m’excitait difficile de savoir pourquoi, elle n'était pas très apprêtée, ni sexy mais elle dégageait chez moi des envies sexuelles qu'elle seule à l'époque me procurait.
    
    Un jour au bord de sa piscine, elle avait déclaré sur un ton amusé, me voyant barboter :
    
    " Si j'avais 20 ans de moins j'aurais bien fait de Romain mon 4 heures !"
    
    Je rougis et tout le monde ria. Sa phrase fit tilt pour moi.
    
    Un jour pluvieux, ...
    ... elle vint à la campagne pour aller cueillir des champignons, prévoyante, elle avait avec elle un sac de sport avec de quoi se changer. Profitant d'un chocolat chaud familial, je m'éclipsais pour fouiller son sac et dans la poche kangourou je trouvais une culotte blanche très classique de la marque Sloggi.Je m'empressais de me masturber avec et crachais ma semence sur le gousset intérieur doublé en coton et remis tout en place. La semaine suivante, je me remarquais ses regards mutins et appuyés ainsi que des sourires en coin à mon égard, elle semblait vouloir se rapprocher de moi. A l'évidence, elle avait remarqué que sa culotte avait été souillée et identifié l'auteur.
    
    Bernard, son mari était horticulteur, il me demanda de partir avec eux deux pour un fleurissement à Pralogniant la Vanoise. Nous devions partir tôt le matin et rentrer tard le soir. J'acceptais sachant que je serais à coté de Jeanine dans le camion à caisse rapportée. Ce jour là elle portait une sorte de leggins beige épais, un débardeur blanc qui moulait bien ces gros seins lourds et un sweat foncé. La journée fut éreintante, plantation, remise et ordre des massifs de la ville, nous partîmes à la nuit tombante. Dans le camion à 3 places devant j'occupais la place droite collé contre la porte et Jeanine au milieu.
    
    Elle ne tarda pas à s'endormir sa tête lourde s'appuyant sur mon épaule. je sentais son parfum et ses odeurs corporelles, elle avait une odeur douce et sucrée. Dans l’obscurité de la cabine et le ...
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