1. Tarzan sans sa forêt


    Datte: 18/05/2019, Catégories: 2couples, couplus, jalousie, Transexuels Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... laisser porter par le plaisir et ouvrir ses sens au maximum pour profiter de chaque instant.
    
    J’écoute la douce musique des queues qui pistonnent, des liquides qui « floquent », des chairs qui frappent et surtout les gémissements de ma Lucie. Ses reins sont des furies qui s’activent, poussant nos mandrins au plus profond de ses orifices, les tordant pour mieux les sentir et se baiser avec. Chaque mouvement est accompagné par un soupir. Chaque soupir chasse le suivant, plus long, plus fort. Je la connais bien, ma Lucie. Je sens lorsque sa voix change, précurseur de l’orgasme qui monte, et que les souffles vont se transformer en cris de plaisir. Elle s’active si bien que je ne résiste plus. Moi aussi, la jouissance arrive et j’inonde son cul de mon jus ajoutant mon râle à ses gémissements.
    
    Mon enculeur continue son action, et sa queue transporte à la mienne toute la puissance de la possession. Enfin je le sens faiblir, ralentir et jouir en moi. Quelle étrange sensation de sentir que quelque chose se déverse alors que la capote en retient tout le fluide ! Mais c’est aussi une succession de frissons qui accompagne l’éjaculation. J’imagine ce qu’une femme doit ressentir avec un sexe en elle alors que son amant éjacule au plus profond de sa grotte le flot de liquide brûlant qui jaillit avec force et apporte l’ultime liqueur qui va se joindre à la sienne.
    
    Tout concentré sur ma personne, je ne vois pas que Lorenzo jouit à son tour. La capote doit exploser si les couilles ...
    ... libèrent tout ce que ma main a senti tout à l’heure.
    
    C’est le temps du repos. Lucie se charge de faire circuler des verres. Lorenzo est à ma gauche, Carmina est à ma droite, Lucie s’est assise en face. Quelques paroles sont échangées, étrangement des mots pudiques comparés à la violence sexuelle de notre partie. Chacun confirme que c’était bien. On ne me demande pas si j’ai apprécié la sodomie. Les petits fours sont bienvenus. Le sport ouvre l’appétit. Carmina se rapproche de moi. Penchée sur moi, la cachottière vient pour m’embrasser. Baiser surprenant. Goût de lèvres parfumées, langue inquisitrice et surtout ses deux magnifiques mamelons à portée de mes mains. C’est la femme que je caresse et qui réagit lorsque je pince les tétons. Mais je sais maintenant que si je descends le long de son corps, c’est un sexe d’homme que je vais découvrir. Peu importe, je me laisse embrasser et déguste ce plaisir simple et presque oublié avec ma femme.
    
    Je sens aussi que le canapé bouge sur ma gauche. Je ne vois rien, le visage de Carmina augmente encore la pénombre, mais mon ventre perçoit un contact. Une bouche embrasse mon nombril, lèche mon ventre pour aller découvrir ma verge en repos et alanguie sur mon pubis humide des traces de sperme. La bouche se saisit de mon sexe, petite chose molle, et le gobe jusqu’aux couilles. Carmina me quitte et je peux voir alors que la bouche est celle de Lorenzo. Maintenant je vois mieux. En relevant la tête je remarque qu’une lampe a été rallumée. Pas ...
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