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Tarzan sans sa forêt
Datte: 18/05/2019, Catégories: 2couples, couplus, jalousie, Transexuels Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... que je sois sensible à ces échanges entre hommes ? Qui aurait cru me surprendre en train de sodomiser le Tarzan de ces dames et de ces messieurs ? Je jouis à mon tour, libérant dans la capote ma sève fraîchement fabriquée. Mon pieu redevient un sexe, encore gonflé mais dont la raideur n’est plus suffisante pour garder sa place dans le cul de mon partenaire. Lorenzo est maintenant libre. Libre de se concentrer sur Lucie. Ma femme n’est plus cette chose agenouillée, cambrée, se cachant le visage dans le coussin. Progressivement elle se redresse, prenant bien soin de ne pas déranger l’ordre établi du bâton occupant ses reins. Maintenant elle s’appuie sur le canapé et Lorenzo la possède en levrette, position plus confortable pour eux deux. Moi je suis toujours subjugué par la beauté de la scène. La réalité dépasse la fiction. Le rêve n’est plus qu’un souvenir diffus alors qu’il a occupé mes pensées pendant de longues semaines. C’est bien mieux. C’est plus fort. C’est plus sexe. Jamais je n’avais imaginé un tel spectacle. Lucie, ma Lucie secouée, ébranlée par ce membre viril qui déforme son anus mais qui semble lui donner tant de plaisir. Du plaisir que la main qu’elle a glissée contre sa chatte doit contribuer à lui donner. Je m’assois à côté d’elle pour partager cet instant. Nos regards échangent tout l’amour et la sensualité du monde. Malgré la force du plaisir attendu elle me sourit. J’y lis la joie de cet instant et de ce qui va venir. Le plaisir qui monte. Les lèvres ...
... qui se déforment pour un rictus que l’on pourrait prendre pour un signe de douleur, mais que les petits « oui, oui » transforment en signe de plaisir. La sarabande de ses reins montre qu’elle a pris son plaisir en main. C’est elle qui maintenant monte et descend sur le mandrin et Lorenzo n’est plus que l’instrument de sa jouissance. J’entends clairement sa main frapper son clito avec force alors qu’elle s’immobilise. Lorenzo est soudé à elle. Il ne bouge plus. Encore quelques tapes et soudain un cri, presque un hurlement s’échappe de ses lèvres. Un cri rauque, profond qui semble venir de ses tripes. Des frissons, des secousses la parcourent. Enfin elle se calme et me rassure d’un sourire. Elle s’extirpe du mandrin et vient s’effondrer à côté de moi. La partie est finie. Mais non. Face à elle Lorenzo affiche toujours une queue raide qu’il vient de libérer de la protection du latex. Il ne faut pas sous-estimer la vigueur de Tarzan, fidèle à la devise des scouts, toujours prêt. Lucie n’est pas égoïste. Elle tend la main pour se saisir de l’instrument qu’elle vient à peine de relâcher. Elle joue avec et je peux deviner ses pensées :comment ai-je pu me faire enculer avec ce monstre ? Lorenzo s’avance un peu plus et dirige le mandrin vers les lèvres de ma femme. Elle ne se refuse pas, montre même de la curiosité et de l’expérience pour le sucer et le lécher. D’une main elle le branle, de l’autre elle masse les bourses. Puis elle semble redécouvrir ma présence à ses côtés. ...