1. Soirée noire


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, jeunes, couple, fépilée, campagne, parking, fête, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme chaussures, Oral pénétratio, Auteur: Alex4, Source: Revebebe

    ... plein, car un mariage était justement en cours dans le château. Bien entendu, nous ne comptions pas entrer directement. Après quelques minutes, je trouvai une place retirée, tout au bout d’une allée, avec une vue dégagée sur les champs. Le ciel était étoilé et la lune pleine. Le mois d’octobre avait vu les températures chuter. Il ne devait pas faire plus de dix degrés.
    
    Nous passâmes rapidement sur la banquette arrière, plus confortable. Elle s’agenouilla à côté de moi, ouvrit mon pantalon, et sans une hésitation, sans un regard, sans un mot, prit mon sexe entre ses douces lèvres. Dans ma position, je ne voyais que ses longs cheveux qui montaient et descendaient, lentement. Je sentais ses lèvres serrées sur mon membre, la chaleur de sa salive, la douceur de sa langue. J’entendais sa respiration, lente, mais profonde. Son parfum me montait aux narines, doux et sensuel. De la main, je remontai sa robe libérant ses deux magnifiques fesses nues. Je ne pouvais pas bien les voir, mais j’imaginais la vue que l’on devait en avoir en dehors de la voiture : rondes, fermes, lisses, entourant deux lèvres parfaitement imberbes et gonflées.
    
    Soudain, débordé par tant d’excitation, je devins survolté, excité comme jamais je ne l’avais été, sans limite. Je lui relevai la tête brusquement, provoquant un bruit obscène lorsque mon sexe sortit de sa bouche. Elle me regarda, les yeux grands ouverts, la bouche encore ouverte et humide.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-elle, ...
    ... visiblement très surprise.
    — Déshabille-toi, tout de suite !
    — Tu me veux nue, ici ?
    — Oui, garde tes chaussures et tes bas, je ne veux rien voir d’autre. Allez, dépêche-toi !
    
    Voyant mon excitation hors du commun, elle hésita entre désir et peur. Et le désir, autant que la curiosité, l’emportèrent. Qu’allais-je donc lui faire ?
    
    Elle tira sur la fermeture de sa robe, et se tortilla pour la faire glisser sur ses hanches. Étant déjà cul nu, il ne lui restait finalement que son soutien-gorge à retirer. Le froid qui commençait à gagner l’habitacle provoqua l’inévitable érections de ses tétons.
    
    J’adore les préliminaires en tous genres, mais ce soir-là, je voulais autre chose. Je voulais la prendre intensément, la posséder, entendre ses petits cris à chaque coup de rein, entendre le claquement de nos chairs à chaque fois que je m’enfonçais en elle…
    
    J’attrapai sa cuisse que je fis passer par-dessus moi, de sorte que nous nous retrouvâmes face à face. Elle saisit ma verge et la présenta à l’entrée de sa vulve totalement détrempée. Elle se laissa tomber de tout son poids sur cet objet de plaisir, et se mit à onduler du bassin. Elle était divine, sensuelle comme jamais. Mes mains attrapèrent instantanément ses fesses, s’y agrippant à chaque mouvement, les malaxant avec vigueur, les pinçant presque, les utilisant pour augmenter la violence des va-et-vient.
    
    Mais je ne comptais pas m’arrêter là. Je trouvais l’endroit paisible et la lumière de la lune était d’une magnifique ...