1. Mon prof de Techno (1)


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Divers, Auteur: Delphina, Source: Xstory

    Je m’appelle Océane et j’ai 26 ans. L’histoire racontée s’est déroulée il y a cinq ans. Si j’ai un peu oublié les chiffres, les sensations restent intactes, malgré les années passées.
    
    Plus jeune, et même aujourd’hui, je reste un peu ronde. Rien de grave, mais j’avais des formes généreuses. Ma petite taille, et mes rondeurs auraient pu me complexer si je ne me répétais pas sans cesse que j’étais bien comme je suis. Mes atouts, en revanche, étaient de longs cheveux d’un brun sombre, des yeux narquois et un magnifique 95D, attirant les regards lubriques des garçons.
    
    Aussi loin que je me rappelle, je crois avoir toujours été une allumeuse professionnelle. Personne n’avait son pareil pour chauffer les garçons comme moi. J’ai toujours aimé cela. Frôler la main, le bras, la jambe ou même le sexe lorsque j’étais plus audacieuse...c’était mon hobbit. Voir leurs frimousses émoustillées, cachant tant bien que mal de cacher l’effet de leur corps sur ce que je faisais, innocemment. D’ailleurs, si je me souviens bien, je devais avoir, comme beaucoup de filles, le fantasme du professeur. Un peu plus compliqué à réaliser, car sur une quarantaine de professeurs, il devait y en avoir huit masculins, au grand maximum. Deux dont tout le monde se foutait, deux beaufs, trois littéralement charmants. J’en oublie un. Je me souviens parfaitement de lui. De taille moyenne, un peu bedonnant et d’environ quarante-sept je pense, il était loin d’être le beau professeur fantasmique. Mais ces yeux ...
    ... étaient littéralement envoûtants. Je ne saurais décrire leur couleur, mais je dirais, hypnotiques. Tout le monde savait, en revanche, que c’était un reluqueur professionnel, un pervers de première classe. Mon chemisier blanc, dont les boutons s’amusaient à s’ouvrir régulièrement m’occasionnèrent de nombreux moment de gêne. Il faut bien que je confesse, que, au début, comme beaucoup de filles, il me dégoûtait. Mais, au fur et à mesure que le temps et les heures de cours avec lui s’écoulaient, une sorte de jeu s’était installé entre nous. J’étais une élève modèle: toujours au premier rang, à avoir la main levée pour donner une réponse, toujours assidue. J’étais sa favorite, sa chouchoute, celle à qui il passait tout.
    
    Ma place me garantissait, par sa position et le recul que veulent prendre les élèves, s’éloignant au maximum du bureau principal, une marge de manœuvre très large. Je pouvais innocemment remonter ma jupe, faire un sourire enjôleur, et laisser paraître un bout de sous-vêtement aguicheur.
    
    Je devais être la seule à qui il souriait ainsi, et qui devait l’apprécier réciproquement.
    
    Je dois bien avouer, que ce regard lubrique qu’il m’a dressait souvent était une grande cause d’excitation chez moi. Il devait, d’ailleurs, avoir souvent vu des auréoles, synonyme de désir, très marquées. C’est aussi pour ça qu’après ses cours, je profitais de ma pause, pour, très souvent, aller calmer le feu d’ardeur qui grandissait en moi. Je n’ai jamais parlé à personne de ce scénario ...
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