A weekend as a Princess
Datte: 17/05/2019,
Catégories:
fh,
couple,
hsoumis,
fdomine,
init,
Auteur: Like a princess, Source: Revebebe
A weekend as a Princess
Mercredi matin
Six heures et demie du matin. Je suis toute pelotonnée dans le lit, sur le côté, les mains entre les cuisses. Je suis bien, je ne bouge pas. Il dort à côté de moi, ronflote un peu. J’en profite pour laisser courir mon imagination. Des images me viennent, confuses, dans le demi-sommeil, j’ai chaud entre les cuisses, je me contorsionne doucement. Je l’imagine en train de m’embrasser doucement les seins, il me suçote les tétons, provoquant une douce tension. Il descend vers le ventre, lèche mon nombril, atteint mon pubis. J’écarte doucement les jambes, il pose sa langue sur mon petit bouton, l’humecte, tourne autour, l’enveloppe de la langue…
Et badaboum, il se retourne brutalement dans le lit, me heurte, son ronflement s’accentue, il m’a complètement déconcentrée. Impossible de reprendre le fil de mes pensées. Et je ne vais jamais me rendormir… Mais je suis toute émoustillée, pas besoin de vérifier pour savoir que mon minou est trempé. Et lui qui dort de tout son soûl. J’aimerais bien pourtant qu’il me satisfasse. Mais il est crevé en ce moment et je sais qu’il a plein de travail… Mais si c’est dur la semaine, je voudrais au moins me programmer un super week-end.
Et je pense à tout ce temps depuis lequel il me tarabuste avec toutes ses histoires, « que je ne prends jamais d’initiatives, qu’il aimerait bien réveiller nos imaginations, qu’il aimerait bien être tout à moi, que je sois une Maîtresse, que je le domine et patati ...
... et patata… ». Puisque je suis toute seule avec moi-même en ce moment et qu’il ronfle sans se préoccuper de moi, je me décide cette semaine à le prendre au mot et à essayer d’aller jusqu’au bout. Il veut que je prenne des initiatives, que je sois LA Princesse et que je le fasse marner. Eh bien il va marner, et moi je vais en profiter à fond !
Une demi-heure plus tard, après avoir laissé libre cours à de folles pensées, je me lève doucement. Je suis sous la douche et je pense à la manière de m’y prendre. Ce n’est pas si facile de lui dire en face ce que j’ai derrière la tête. Je vais le faire par SMS, ce sera plus facile avec la distance que procure la messagerie.
Dans le métro en allant au travail, je tape :
Quelques minutes plus tard je complète :
J’envoie le SMS. Bigre, je me suis lâchée !
Quelques minutes plus tard un SMS en retour :
Je pèse les choses et je réponds :
Le forcer à coucher sur le papier son abdication est bien plus rigolo. Si cela se trouve, il va en mettre encore plus que je n’en aurais exigé et, en cas de besoin, je pourrai lui ressortir ce à quoi il se sera lui-même engagé.
Jeudi
Hier soir, il était incroyablement tendre en rentrant, me regardant comme un gamin regarde une pâtisserie dans la vitrine. J’ai bien vu le gonflement qu’il avait dans son pantalon lorsqu’il m’a remis sa lettre. J’ai délibérément omis d’ouvrir l’enveloppe, je l’ai juste mise dans mon sac sans rien dire et j’ai surtout évité d’y faire la moindre allusion ...